New findings from Ireland's Central Statistics Office show that the population of Ireland is falling. The main cause is a general slowing of immigration into the country coupled with increased emigration of Irish citizens to countries such as Australia.
The total number of immigrants into Ireland in the year to April 2008 was 83,800. This was 26,000 less than the previous year. During the same period, the number of emigrants increased marginally to 45,300 over the previous period in 2007.
Immigrants from the European Union showed the sharpest decline in numbers, after experiencing a strong surge in immigration since 2004.
Ireland was one of only a few member states to immediately open its labor market to the 10 EU nations that joined the 27-member bloc in 2004. However, improving labor wages and economies in these citizens' home countries are persuading many people to remain at home.
At the same time, more and more Irish citizens are immigrating to countries such as Australia and New Zealand, according to the statistics.
Of the 19,800 Irish citizens who immigrated to what the statistics called the "Rest of the world" (countries outside the EU, the USA, and the United Kingdom), 11,300 are estimated to have immigrated to 'Australia and Oceania'. Australia has recently become a popular destination for migrant workers due to its liberal skilled immigration policies.
www.workpermit.com
vendredi 29 août 2008
mercredi 20 août 2008
La Grande-Bretagne envisage de réintroduire le visa pour 11 pays
La Grande-Bretagne a annoncé qu'elle envisageait d'étendre l'obligation de visa pour les citoyens de 11 pays.
Les 11 pays visés par cette décision sont : Bolivie, Botswana, Brésil, Lesotho, Malaisie, Maurice, Namibie, Afrique du Sud, Swaziland, Trinité-et-Tobago et Venezuela.
A ce jour, les ressortissants de plus de 100 pays (3/4 de la population mondiale) ont besoin d'un visa pour aller au Royaume Uni...
Source : Reuters
Les 11 pays visés par cette décision sont : Bolivie, Botswana, Brésil, Lesotho, Malaisie, Maurice, Namibie, Afrique du Sud, Swaziland, Trinité-et-Tobago et Venezuela.
A ce jour, les ressortissants de plus de 100 pays (3/4 de la population mondiale) ont besoin d'un visa pour aller au Royaume Uni...
Source : Reuters
dimanche 10 août 2008
Piratage et clonage de passeports électroniques
Des tests effectués pour le compte du Times Online britannique ont prouvé que les nouveaux passeports électroniques high-tech actuellement en cours de distribution à travers le monde peuvent être piratés et clonés en quelques minutes.
Un chercheur en informatique l’a démontré en clonant les puces de deux passeports britanniques puis en implantant des images numériques de Oussama Ben Laden et d’un terroriste kamikaze porteur d’une bombe. Les deux passeports ont été validés comme authentiques par un logiciel de lecture des passeports approuvé par les Nations Unis. Et il a fallu moins d’une heure au chercheur pour tout faire.
On supposait au départ que les puces clonées seraient détectées car leurs codes clés ne correspondraient pas à ceux stockés dans une base de données internationale. Cependant, seuls 10 des 45 pays participant au programme de passeport électronique ont adopté le système à code PKD (Public Key Directory), et seuls cinq pays l’utilisent vraiment. De plus, les recherches montrent que les données biométriques peuvent aussi être manipulées et intégrées à de faux passeports.
A ce stade, il n’y a aucun indice laissant croire qu’un passeport électronique cloné ait pu passer un contrôle en conditions réelles, mais cela finira par arriver sauf si tous les pays adoptent le PKD. Et même dans ce cas, on peut avoir des doutes sur la sécurité à long terme. C’est toujours une question de temps avant que quelqu’un ne trouve un moyen de manipuler le système.
http://www.gizmodo.fr/2008/08/10/piratage-et-clonage-de-passeports-electroniques.html
Un chercheur en informatique l’a démontré en clonant les puces de deux passeports britanniques puis en implantant des images numériques de Oussama Ben Laden et d’un terroriste kamikaze porteur d’une bombe. Les deux passeports ont été validés comme authentiques par un logiciel de lecture des passeports approuvé par les Nations Unis. Et il a fallu moins d’une heure au chercheur pour tout faire.
On supposait au départ que les puces clonées seraient détectées car leurs codes clés ne correspondraient pas à ceux stockés dans une base de données internationale. Cependant, seuls 10 des 45 pays participant au programme de passeport électronique ont adopté le système à code PKD (Public Key Directory), et seuls cinq pays l’utilisent vraiment. De plus, les recherches montrent que les données biométriques peuvent aussi être manipulées et intégrées à de faux passeports.
A ce stade, il n’y a aucun indice laissant croire qu’un passeport électronique cloné ait pu passer un contrôle en conditions réelles, mais cela finira par arriver sauf si tous les pays adoptent le PKD. Et même dans ce cas, on peut avoir des doutes sur la sécurité à long terme. C’est toujours une question de temps avant que quelqu’un ne trouve un moyen de manipuler le système.
http://www.gizmodo.fr/2008/08/10/piratage-et-clonage-de-passeports-electroniques.html
lundi 4 août 2008
La Grèce va enfin reconnaître l’existence de ses enfants d’immigrés.
Cette semaine, le Parlement doit examiner un projet de loi attribuant une carte de séjour de cinq ans à plus de 120 000 clandestins d’un genre très particulier. Nés en Grèce de parents immigrés légaux résidant en Grèce depuis de nombreuses années, ayant suivi leur scolarité entière dans des établissements grecs, ils se découvrent illégaux le jour de leurs 18 ans.
Ils sont obligés de partir dans le pays de leurs parents, qu’ils ne connaissent pas en général et dont ils parlent souvent mal la langue. Là-bas, ils doivent faire les démarches, en partant de zéro, pour obtenir un visa de séjour pour la Grèce où demeure leur famille. Cette situation ubuesque est la conséquence du jus sanguinis - droit du sang - qui donne automatiquement la nationalité grecque à tout descendant de Grec, même à la énième génération, même s’il ne parle pas le grec et même s’il n’a aucun rapport avec la réalité grecque d’aujourd’hui ; mais qui ne la reconnaît pas à ceux qui vivent sur le sol hellénique s’ils ne sont pas nés au moins d’un père grec.
Droit du sol. Le gouvernement propose de délivrer une carte de séjour à ces enfants qui, ensuite, pourront être naturalisés. Le pari n’est pas gagné car les conservateurs du parti du Premier ministre, Costas Caramanlis, n’ont qu’une voix de majorité à l’Assemblée. Beaucoup, à gauche et notamment au sein du Pasok, le parti socialiste, voudraient en revanche une réforme beaucoup plus radicale, introduisant un droit du sol avec une citoyenneté automatique dès la naissance ou au moins à 18 ans pour les enfants nés de parents étrangers mais résidant en Grèce.
En tout cas, les conservateurs au pouvoir comme l’opposition sont d’accord sur la nécessité de repenser de bout en bout la politique migratoire du pays, après le cri d’alarme lancé par le professeur Alexandre Zavos, directeur de l’Institut de politique de l’immigration (Imepo). Dans son rapport il demande à la fois une politique plus affirmée pour faire face à l’afflux, en constante augmentation, de clandestins sur les îles proches de la Turquie, en particulier Samos et Chios. En contrepartie il conseille au gouvernement d’avoir une politique d’intégration digne de ce nom, pour ceux qui vivent depuis longtemps sur le territoire grec.
Dans un pays avec un des plus bas taux de fécondité du monde (1,3 enfant par femme), ces fils et filles d’immigrés, souvent excellents élèves et ayant la «rage de réussir», sont l’avenir économique du pays.
Liberation
Ils sont obligés de partir dans le pays de leurs parents, qu’ils ne connaissent pas en général et dont ils parlent souvent mal la langue. Là-bas, ils doivent faire les démarches, en partant de zéro, pour obtenir un visa de séjour pour la Grèce où demeure leur famille. Cette situation ubuesque est la conséquence du jus sanguinis - droit du sang - qui donne automatiquement la nationalité grecque à tout descendant de Grec, même à la énième génération, même s’il ne parle pas le grec et même s’il n’a aucun rapport avec la réalité grecque d’aujourd’hui ; mais qui ne la reconnaît pas à ceux qui vivent sur le sol hellénique s’ils ne sont pas nés au moins d’un père grec.
Droit du sol. Le gouvernement propose de délivrer une carte de séjour à ces enfants qui, ensuite, pourront être naturalisés. Le pari n’est pas gagné car les conservateurs du parti du Premier ministre, Costas Caramanlis, n’ont qu’une voix de majorité à l’Assemblée. Beaucoup, à gauche et notamment au sein du Pasok, le parti socialiste, voudraient en revanche une réforme beaucoup plus radicale, introduisant un droit du sol avec une citoyenneté automatique dès la naissance ou au moins à 18 ans pour les enfants nés de parents étrangers mais résidant en Grèce.
En tout cas, les conservateurs au pouvoir comme l’opposition sont d’accord sur la nécessité de repenser de bout en bout la politique migratoire du pays, après le cri d’alarme lancé par le professeur Alexandre Zavos, directeur de l’Institut de politique de l’immigration (Imepo). Dans son rapport il demande à la fois une politique plus affirmée pour faire face à l’afflux, en constante augmentation, de clandestins sur les îles proches de la Turquie, en particulier Samos et Chios. En contrepartie il conseille au gouvernement d’avoir une politique d’intégration digne de ce nom, pour ceux qui vivent depuis longtemps sur le territoire grec.
Dans un pays avec un des plus bas taux de fécondité du monde (1,3 enfant par femme), ces fils et filles d’immigrés, souvent excellents élèves et ayant la «rage de réussir», sont l’avenir économique du pays.
Liberation
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