dimanche 21 juillet 2019

Les islamistes, passagers clandestins du progressisme

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Culte du pacifisme et «pas d’amalgame»

La jeunesse française, quand elle est bien commandée, est capable de « mettre une raclée » aux djihadistes les plus aguerris au cœur du Sahel ou du Levant. L’islamisme n’aime pas la jeunesse version Arnaud Beltrame. Il lui préfère la jeunesse qui rigole et qui ricane des malheurs de la France. Il aime le rap quand il invite à l’inceste (nique ta mère) ou à brûler le drapeau bleu blanc rouge (nique la France). Il tolère le dealer qui empoisonne les âmes et les muscles de ceux qui sont en âge de changer le monde par la force.
L’islamisme n’a pas peur de la bourgeoisie, il la méprise car il regarde ses chaînes de télévision et mesure le désarmement moral promu par ses affidés : haine de soi, érotisation permanente du réel, bannissement de la punition, culte béat du pacifisme et de la repentance etc. Il se sert d’elle comme d’une grande machine à déradicaliser la société, un mécanisme implacable qui bannit la violence défensive et tolère celle qui vient d’autrui. C’est ainsi qu’après chaque attentat, les Français posent des fleurs sur les lieux du massacre et chantent en cœur « pas d’amalgame ». Toute attaque donne lieu à une cérémonie de « déradicalisation » collective démultipliée par les médias et les leaders d’opinion. L’essentiel est de s’injecter ensemble une dose de repentance, de bonne foi (« ne pas stigmatiser ») et de haine de soi (« l’ennemi c’est l’extrême-droite »).
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Pour islamiser les banlieues, il faut en retirer d’urgence tous les « petits blancs ».  En effet, le Français de souche qui vit dans les « quartiers », au contact des immigrés, fait partie des populations les moins xénophobes du monde. Son mode de vie est un démenti cuisant aux thèse victimaires des islamistes, il offre une chance réelle pour l'intégration des nouveaux venus (un gros mot par les temps qui courent). Tant que les immigrés pourront fréquenter le PMU de Jacky et jouer au foot le dimanche avec Marcel ou Manu, ils auront une échappatoire. Le rêve de l’islamiste est de voir « les petites gens » disparaître dans les profondeurs des provinces françaises.

Territoires perdus

Le délinquant est investi de la mission de « nettoyer » les lieux de vie de leurs habitants indésirables. Les islamistes, qui méprisent son style de vie décadent, le laissent faire car le délinquant est utile. Et les progressistes le couvrent de toutes les attentions car il est un « damné de la terre » qui mérite toutes les circonstances atténuantes.
Et si les « petits blancs » (aussi appelés beaufs par les progressistes) décident de rester dans leurs HLM, ils doivent être décrédibilisés et condamnés au silence parce qu’ils sont descendants de pétainistes, de colonialistes et d’esclavagistes. Ils doivent être suffisamment « apprivoisés » pour accepter les prières de rue et la loi des grands frères. Ils doivent accepter sans rechigner la disparition du postier, du médecin ou même du policier.