mardi 3 avril 2012

"On va vers toujours plus de métissage"

Denis Podalydès explique à Richard Millet qu"on va vers toujours plus de métissage". Podalydès ne se rend pas compte que cette idéologie soi-disant dominante n'est en fait dominante que chez une minorité de personne, plutôt de gôôôche et habitant les beaux quartiers. Quant aux journalistes du 11è qui sont à plus de 90% de gôche  et qui souhaitent eliminer le mot "race" de la constitution (tellement pratique, plus de races donc plus de racisme) ne comptez pas trop sur eux pour vous donner un éclairage objectif des réalités.


Millet: "Une carte d'identité n'est pas une identité"

Si une carte d'identité était une identité alors il n'y aurait pas beaucoup d'anglo-saxons  avec une identité...

Elle est rigolotte la petite Brunel de nous expliquer que la présence des noirs remonte à plusieurs siècles en France. Oui c'est vrai, mais elle oublie un détail, il s'agissait de l'Empire Français...
La présence massive des noirs en France Métropolitaine ne date que de quelques décennies.

On rappelle à Podalydès et autres lecteurs de Libé que le métissage massif est un mythe. Prenez le plus connu des métissés: Obama (qui a épousé une noire) Eh bien, notre chère idole des bobos (pro-peine de mort, pro-port d'arme mais ne comptez pas sur Mediapart pour le rappeler) lors d'un recensement a coché la case "Negro". Aux oubliettes sa mère blanche, le vote massif blanc qui l'a élu, son discours post-racial...

L'idéologie du métissage, cette 'vague mondiale' n'est qu'une escroquerie. En effet de la Russie à la Chine, en passant par le Japon, le Sénégal ou le Qatar, il faudra quand même qu'on mexplique où est exactement ce métissage ?

En France, ces bobos confondent immigration explosive et métissage de masse. Dans les faits, les français épousant par ex, des algériens ou des maliens sont , en fait, dans l'immense majorité des cas, des personnes nés de parents algériens ou maliens. (Quid des mariages forcés?!)

Au Brésil, pays de tous les fantasmes de nos bobos, il n'y a qu'à regarder la TV 5 min, analyser les visages du Sénat, du gouvernement, des dirigeants de foot (religion nationale) et de n'importe quelle entreprise pour se demander où est ce fameux métissage???
Xuxa présentatrice star de la TV brésilienne

Il y a bien longtemps que le métissage se pratique de manière épisodique au Brésil. Le temps des viols d'esclaves et d'indiens est révolu. Oui, il y avait une certaine tolérance portugaise pour les unions inter-raciales MAIS c'était il y a bien longtemps, ce temps est révolu. Au Brésil, on ne se mélange qu'à la plage. Les images de la Seleçao ne reflètent en rien un pays ouvert et tolérant. Les footballeurs et autres musiciens métis, quand il s'agit de faire des enfants épousent essentiellement des blanches...

Carlinhos Brown et sa femme
Ronaldo et Daniella
Pele et Assiria


Le métissage est ultra minoritaire que ce soit aux USA, au Brésil ou en France...

"Même la société postraciale et métissée, que veut symboliser le 44e président, ne correspond pas aux réalités: un rapport révèle, ces jours-ci, le constant recul, depuis 1991, de l'intégration dans les écoles des États-Unis, où les Noirs et les Hispaniques ont de plus en plus tendance à se retrouver entre eux, confirmant l'échec de la diversité déjà décrit par le sociologue Robert Putnam."

-Quantités d'enfants issus de mariages inter-raciaux ont du mal avec une partie de leur origine. "Le juge accorde à Fatima et Mohammed le droit de changer de prénom"
-Thirty percent of British Muslims would prefer to live under Sharia (Islamic religious) law than under British law.
-Freddy Mercury se sentait plus anglais qu'indien.
-Quantités d'enfants nés français ou américains se sentent plus algériens ou mexicains.


Quid des noirs qui se prennent pour des blancs:


"Alberto Alesina, professeur à Harvard, a par exemple découvert que les villes américaines à forte diversité (culturelle, sociale) sont aussi celles où les services publics sont de moins bonne qualité. Les poubelles y sont relevées moins souvent, les bibliothèques municipales plus petites, le tout-à-l'égout déficient, les programmes d'aide sociale moins développés. Contrepartie de la diversité, l'absence de solidarité collective a parfois un prix politique : les pays les plus hétérogènes ont des gouvernements plus instables, quand ils ne sont pas plus autoritaires."

http://pass-ports.blogspot.com.es/2010/09/diversite-ou-solidarite-il-faut-choisir.html

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