À partir du 1er décembre, toute personne voulant venir en France par la voie du regroupement familial va devoir passer un test dans son pays d'origine pour prouver sa bonne maîtrise de la langue française et sa connaissance des valeurs de la République, selon un décret qui doit être publié au journal officiel (JO) en fin de semaine. Ce décret précise les modalités d'application de la loi du 20 novembre 2007 relative à la maîtrise de l'immigration, à l'intégration et à l'asile, précise-t-on au point.fr du côté du ministère de l'Immigration.
Le dispositif d'évaluation prévu vise à préparer "l'intégration républicaine dans la société française" du candidat au regroupement familial. Les ressortissants étrangers âgés de plus de 65 ans ou ceux qui ont moins de 16 ans seront dispensés de ce cours. Tout comme les personnes ayant étudié dans une école francophone ou celles ayant réalisé des études supérieures en France d'un an. En revanche, les autres devront, selon leur niveau, suivre jusqu'à deux mois de formation avant de passer un nouveau test. Le critère de réussite ne sera alors pas tant le niveau atteint lors de l'examen que l'assiduité. Ainsi, un absentéisme pourrait retarder l'obtention du visa. "La délivrance du visa est subordonnée à la production d'une attestation de suivi de cette formation" qui est délivrée immédiatement à l'issue du cours, précise l'article 1 de la loi du 20 novembre 2007.
L'apprentissage de la langue française pourra se faire au sein des antennes locales de l'Agence nationale de l'accueil des étrangers et des migrations (ANAEM), qui ne sont pas encore très développées à l'étranger, ou bien en partenariat avec d'autres organismes comme les consulats.
http://www.lepoint.fr/actualites-politique/null/917/0/287034
jeudi 30 octobre 2008
samedi 25 octobre 2008
USA: découragés par la crise, certains immigrés préfèrent rentrer au pays
Face à la crise économique qui frappe les Etats-Unis, des milliers d'immigrés latino-américains, en situation régulière ou non, choisissent de rentrer chez eux. D'après la municipalité de Mexico, ce sont ainsi entre 20.000 et 30.000 immigrés supplémentaires par rapport aux chiffres habituels qui reviendront dans les prochains mois parce qu'ils ne trouvent pas de travail en Amérique.
D'autres signes indiquent que les Etats-Unis ne sont plus l'aimant qu'ils étaient lorsque l'économie fleurissait et que le boom de la construction fournissait de nombreux emplois.
Moins de clandestins se font attraper en train de franchir la frontière mexico-américaine. La Patrouille à la Frontière a recensé 723.825 interpellations sur l'année fiscale (qui s'est achevée le 30 septembre), soit 18% de moins que l'année précédente et 39% de moins qu'en 2005, où près de 1,2 million de clandestins s'étaient fait arrêter.
Les immigrés envoient moins d'argent dans leur pays d'origine. Les transferts USA-Mexique ont connu en août leur plus forte baisse depuis le début de ces statistiques, il y a 12 ans. D'après la Banque centrale mexicaine, ils ont chuté de 12% par rapport à août 2007.
AP
D'autres signes indiquent que les Etats-Unis ne sont plus l'aimant qu'ils étaient lorsque l'économie fleurissait et que le boom de la construction fournissait de nombreux emplois.
Moins de clandestins se font attraper en train de franchir la frontière mexico-américaine. La Patrouille à la Frontière a recensé 723.825 interpellations sur l'année fiscale (qui s'est achevée le 30 septembre), soit 18% de moins que l'année précédente et 39% de moins qu'en 2005, où près de 1,2 million de clandestins s'étaient fait arrêter.
Les immigrés envoient moins d'argent dans leur pays d'origine. Les transferts USA-Mexique ont connu en août leur plus forte baisse depuis le début de ces statistiques, il y a 12 ans. D'après la Banque centrale mexicaine, ils ont chuté de 12% par rapport à août 2007.
AP
mercredi 22 octobre 2008
Carte bleue européenne
Une carte bleue pour les travailleurs migrants qualifiés de l'UE
Les représentants des Etats membres de l'Union européenne se sont mis d'accord sur les modalités d'une "carte bleue" européenne similaire à la carte verte américaine:
Ce dispositif est destiné à faciliter l'entrée sur le marché du travail de l'UE de travailleurs migrants qualifiés issus de pays en voie de développement.
Les 27 Etats membres de l'UE espèrent qu'il permettra à l'Europe d'être plus compétitive face aux Etats-Unis et aux autres économies occidentales pour attirer des travailleurs diplômés dans des secteurs tels que les nouvelles technologies ou la santé.
Les analystes considèrent néanmoins que cette "carte bleue" ne sera pas un rival sérieux pour la carte verte américaine car elle n'est valide que dans un Etat à la fois et ne permet pas la liberté de mouvement sur le marché unique européen.
Les travailleurs migrants qualifiés représentent environ 1,7% des travailleurs immigrés sur le territoire de l'Union européenne, contre 9,9% en Australie, 7,3% au Canada et 3,2% aux Etats-Unis.
Voici les principales caractéristiques de ce dispositif, qui entrera en vigueur 30 mois après avoir été ratifié par les Etats membres de l'UE, au cours des prochaines semaines :
- les travailleurs migrants qualifiés pourront obtenir plus rapidement un permis de travail et il leur sera également plus facile d'être rejoints par leur famille, d'obtenir un logement social et d'obtenir un statut de résident de long-terme.
- Après 18 mois passés à travailler avec une "carte bleue" dans l'un des 27 Etats membres, il sera possible au travailleur migrant de s'établir, ainsi que sa famille, dans un autre Etat de l'UE, sous la condition de demander une nouvelle carte bleue dans son nouveau pays de résidence.
- Pour être éligible à ce dispositif, les migrants doivent se voir proposer un emploi avec un salaire brut annuel excédant 1,5 fois le salaire moyen dans le pays concerné. Ce chiffre tombe à 1,2 fois le salaire moyen dans les secteurs avec de gros besoins de main d'oeuvre.
- Les travailleurs demandant cette "carte bleue" doivent disposer au minimum d'un diplôme de niveau baccalauréat ou de cinq ans d'expérience professionnelle à un niveau comparable.
- Les gouvernements se réservent le droit de refuser d'émettre une "carte bleue" en cas de problèmes sur leur marché du travail ou si leurs quotas nationaux sont dépassés.
- Chaque Etat membre de l'UE a également la faculté de décider la durée de validité d'une "carte bleue", avec un maximum de quatre ans. Celle-ci demeure néanmoins valide pour une durée de trois mois si le migrant perd son emploi.
Les représentants des Etats membres de l'Union européenne se sont mis d'accord sur les modalités d'une "carte bleue" européenne similaire à la carte verte américaine:
Ce dispositif est destiné à faciliter l'entrée sur le marché du travail de l'UE de travailleurs migrants qualifiés issus de pays en voie de développement.
Les 27 Etats membres de l'UE espèrent qu'il permettra à l'Europe d'être plus compétitive face aux Etats-Unis et aux autres économies occidentales pour attirer des travailleurs diplômés dans des secteurs tels que les nouvelles technologies ou la santé.
Les analystes considèrent néanmoins que cette "carte bleue" ne sera pas un rival sérieux pour la carte verte américaine car elle n'est valide que dans un Etat à la fois et ne permet pas la liberté de mouvement sur le marché unique européen.
Les travailleurs migrants qualifiés représentent environ 1,7% des travailleurs immigrés sur le territoire de l'Union européenne, contre 9,9% en Australie, 7,3% au Canada et 3,2% aux Etats-Unis.
Voici les principales caractéristiques de ce dispositif, qui entrera en vigueur 30 mois après avoir été ratifié par les Etats membres de l'UE, au cours des prochaines semaines :
- les travailleurs migrants qualifiés pourront obtenir plus rapidement un permis de travail et il leur sera également plus facile d'être rejoints par leur famille, d'obtenir un logement social et d'obtenir un statut de résident de long-terme.
- Après 18 mois passés à travailler avec une "carte bleue" dans l'un des 27 Etats membres, il sera possible au travailleur migrant de s'établir, ainsi que sa famille, dans un autre Etat de l'UE, sous la condition de demander une nouvelle carte bleue dans son nouveau pays de résidence.
- Pour être éligible à ce dispositif, les migrants doivent se voir proposer un emploi avec un salaire brut annuel excédant 1,5 fois le salaire moyen dans le pays concerné. Ce chiffre tombe à 1,2 fois le salaire moyen dans les secteurs avec de gros besoins de main d'oeuvre.
- Les travailleurs demandant cette "carte bleue" doivent disposer au minimum d'un diplôme de niveau baccalauréat ou de cinq ans d'expérience professionnelle à un niveau comparable.
- Les gouvernements se réservent le droit de refuser d'émettre une "carte bleue" en cas de problèmes sur leur marché du travail ou si leurs quotas nationaux sont dépassés.
- Chaque Etat membre de l'UE a également la faculté de décider la durée de validité d'une "carte bleue", avec un maximum de quatre ans. Celle-ci demeure néanmoins valide pour une durée de trois mois si le migrant perd son emploi.
vendredi 17 octobre 2008
Les USA vont dispenser de visa les citoyens de 7 pays alliés
L'administration Bush est sur le point de lever l'obligation d'un visa d'entrée aux Etats-Unis pour les ressortissants de sept pays considérés comme des alliés:
la Lettonie, la Lituanie, l'Estonie, la Hongrie, la République tchèque, la Slovaquie et la Corée du Sud.
Le président George W. Bush devrait annoncer ce vendredi que ces sept pays seront ajoutés le mois prochain à la liste des pays dont les citoyens peuvent entrer sans visa aux Etats-Unis, à titre de remerciements pour les alliés proches. Ces sept pays remplissent les exigences de sécurité attendues par l'administration américaine.
Les négociations ont échoué en revanche avec la Grèce, le seul pays de l'Ouest européen non inclus jusqu'ici dans ce programme. AP
la Lettonie, la Lituanie, l'Estonie, la Hongrie, la République tchèque, la Slovaquie et la Corée du Sud.
Le président George W. Bush devrait annoncer ce vendredi que ces sept pays seront ajoutés le mois prochain à la liste des pays dont les citoyens peuvent entrer sans visa aux Etats-Unis, à titre de remerciements pour les alliés proches. Ces sept pays remplissent les exigences de sécurité attendues par l'administration américaine.
Les négociations ont échoué en revanche avec la Grèce, le seul pays de l'Ouest européen non inclus jusqu'ici dans ce programme. AP
jeudi 9 octobre 2008
São Paulo erects a temple to the gods of soccer
SÃO PAULO: Walking into Brazil's new soccer museum is like entering a hall filled with busts of Greek gods. Suspended on glass screens some eight feet tall in the darkened chamber are the outlines of a dozen or so of Brazil's soccer legends in action.
Underneath, the players' names are printed in capital letters. For most, one name is enough. Ronaldo ... Didi ... Falcão ... Tostão ... Garrincha ... and the most famous of all, Pelé.
On the museum's opening day last week, many visitors simply looked up at the glass screens in respectful silence.
"This is a place for us to worship," said Mário Vieira, a 53-year-old banker standing outside the museum, which is housed in the Pacaembu Stadium. "Brazilians have soccer in their blood."
iht.com
--------------
On ne leur parlera pas des mythiques rendez-vous avec la France...
et on ne leur demandera pas non plus combien de retard de construction a eu ce musée ni combien d'argent a été détourné pour ériger ce theatre de guignols...pour ça il suffit d'attendre et guetter leur "groupe de presse" trad: propagande.
On attend encore un musée dédié à leurs prix Nobel...
Underneath, the players' names are printed in capital letters. For most, one name is enough. Ronaldo ... Didi ... Falcão ... Tostão ... Garrincha ... and the most famous of all, Pelé.
On the museum's opening day last week, many visitors simply looked up at the glass screens in respectful silence.
"This is a place for us to worship," said Mário Vieira, a 53-year-old banker standing outside the museum, which is housed in the Pacaembu Stadium. "Brazilians have soccer in their blood."
iht.com
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On ne leur parlera pas des mythiques rendez-vous avec la France...
et on ne leur demandera pas non plus combien de retard de construction a eu ce musée ni combien d'argent a été détourné pour ériger ce theatre de guignols...pour ça il suffit d'attendre et guetter leur "groupe de presse" trad: propagande.
On attend encore un musée dédié à leurs prix Nobel...
mercredi 8 octobre 2008
Elvis est vivant
Elvis est vivant. Et il a même un passeport électronique. Un magnifique faux, fabriqué par des hackers néerlandais. Experts et pirates informatiques l'ont montré à plusieurs reprises, les e-passeports sont loin d'être inviolables : les puces RFID sont faciles à lire et à cloner. Cette fois, les pirates ont créé un document de toutes pièces. Introduit dans une borne libre-service à l'aéroport de Schiphol, à Amsterdam, le passeport du King a été scanné sans problème. Elvis Aaron Presley, citoyen américain, né le 8 janvier 1935 : les données – photo et numéro du document inclus – sont apparues à l'écran sans déclencher la moindre alarme, à en croire la vidéo mise en ligne sur le site des hackers du groupe THC.
video: http://freeworld.thc.org/thc-epassport/
video: http://freeworld.thc.org/thc-epassport/
samedi 4 octobre 2008
Hausse du prix des passeports
Le projet de budget 2009 prévoit une hausse des tarifs des passeports, qui deviennent biométriques, de 29 euros pour les adultes et de 15 euros pour les 15-18 ans, affirme aujourd'hui le quotidien économique Les Echos.
Ainsi le prix d'un passeport pour un adulte passera de 60 à 89 euros et de 30 à 45 euros pour les 15-18 ans. Pour les moins de 15 ans, dont le passeport était jusqu'à présent gratuit, il en coûtera 20 euros, précise le quotidien économique qui énumère des mesures "non évoquées par le gouvernement" lors de sa présentation du projet de budget 2009.
En ce qui concerne la carte d'identité, qui devient elle aussi biométrique, sa délivrance reste gratuite mais "son renouvellement en cas de perte ou de vol plus de douze mois avant la date d'expiration sera désormais facturé 25 euros", selon le journal.
L'objectif du gouvernement est de "réduire la fraude à l'identité", alors que les déclarations de perte ou de vol ont fortement augmenté depuis 1997, "date à laquelle la carte est devenue gratuite", expliquent les Echos. Le passeport biométrique, dont les premiers exemplaires seront disponibles cet automne, contient une photo et les empreintes digitales numérisées. Il a été lancé officiellement par un décret paru le 4 mai au Journal officiel.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2008/10/03/01011-20081003FILWWW00269-hausse-attendue-du-prix-des-passeports.php
Ainsi le prix d'un passeport pour un adulte passera de 60 à 89 euros et de 30 à 45 euros pour les 15-18 ans. Pour les moins de 15 ans, dont le passeport était jusqu'à présent gratuit, il en coûtera 20 euros, précise le quotidien économique qui énumère des mesures "non évoquées par le gouvernement" lors de sa présentation du projet de budget 2009.
En ce qui concerne la carte d'identité, qui devient elle aussi biométrique, sa délivrance reste gratuite mais "son renouvellement en cas de perte ou de vol plus de douze mois avant la date d'expiration sera désormais facturé 25 euros", selon le journal.
L'objectif du gouvernement est de "réduire la fraude à l'identité", alors que les déclarations de perte ou de vol ont fortement augmenté depuis 1997, "date à laquelle la carte est devenue gratuite", expliquent les Echos. Le passeport biométrique, dont les premiers exemplaires seront disponibles cet automne, contient une photo et les empreintes digitales numérisées. Il a été lancé officiellement par un décret paru le 4 mai au Journal officiel.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2008/10/03/01011-20081003FILWWW00269-hausse-attendue-du-prix-des-passeports.php
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