"Ce n’est un secret pour personne que le quota de places réservées aux séfarades dans les établissements d’enseignement ashkénazes est restreint", rapporte David Rot, dont le nom d’origine est Shitreet, dans les pages de Yediot Ahoronot. "Les familles séfarades qui veulent envoyer leurs enfants dans ces établissements sont confrontées à de nombreux obstacles, sauf si elles bénéficient d’une très bonne réputation ou d’un réseau de relations. OU alors, si elles peuvent mettre sur la table une donation conséquente – dans ce cas, l’argent remplace le nom de famille."
Une autre solution est de changer de nom de famille. "Les employés du ministère de l’Intérieur en ont désormais l’habitude. Ainsi, Turjeman devient Truzman, Mussayev se transforme en Moskovitch, Shavo en Shavan, etc.", signale le quotidien. Cette discrimination est essentiellement pratiquée dans les écoles et séminaires gérés par des ultraorthodoxes, des établissements cotés et convoités par les familles.
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Mais que reproche t-on à ces pauvres séfarades ? leur trop grande discrétion ? leur classe innée ?
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