Parte da badalada Nova Classe Média é formada por afro-descendentes: cerca de 1/3 desses brasileiros fazem parte da classe C. Aliás, vale destacar que somente 4% dos negros e pardos neste país pertencem às classes A e B, dado que confirma a percepção de muita gente de que a riqueza no Brasil tem a pele clara.
Mesmo assim, esse segmento da população tem contribuído nos últimos anos com uma parcela significativa do consumo nacional. Para começo de conversa, eles representam quase 51% dos habitantes do país, segundo dados do IBGE. E toda essa gente tem tido mais acesso, por exemplo, a bens duráveis. Um levantamento do Data Popular, empresa especializada em estudar a baixa renda, mostrou que a posse de televisores entre os negros passou de 63% em 2001 para 98% em 2010. Já a máquina de lavar, que estava presente em apenas 10% dos lares negros em 2001, alcançou 53% dessas residências em 2010. Isso sem falar no celular, que chegou a 83% de penetração nesse mesmo intervalo de tempo.
Outra observação importante dessa análise do Data Popular diz respeito ao investimento de negros e pardos brasileiros em vestuário, beleza e cuidados pessoais. Para essas pessoas, andar bem arrumado é importante para diminuir a discriminação que ainda percebem por parte de alguns setores da sociedade e também para reafirmar a própria identidade.
http://marinhonoblog.blogspot.com/2011/03/ricos-no-brasil-tem-pele-clara-so-4-dos.html
jeudi 31 mars 2011
lundi 28 mars 2011
De Vercingétorix à Napoléon : dans les poubelles de l’Histoire…
Un « Comité de vigilance » d’enseignants veut en finir avec l’Histoire nationale. Il convient, selon ces historiens, d’enseigner les grandes heures des empires africains de Songhaï et Monopata…
Je consulte régulièrement les textes parus sur le site d’une association nommée « Comité de vigilance face aux usages publics de l’histoire » (CVUH). On ne s’y ennuie jamais, le comique atteignant ici les plus grands sommets du cinéma burlesque américain (le talent des Marx Brothers en moins). Mais, honnêtement, ce n’est pas pour cela que j’y vais.
Place à l'histoire plurielle ?
Le CVUH, constitué d’historiens dont la plupart sont enseignants, a deux mamelles (non, non, pas « le labourage et le pâturage », chers à Henri IV et Sully, car ce serait trop ringard...). L’une d’elles s’attache à purifier la France de la souillure sarkozyenne, souillure car, pour la première fois dans l’histoire de notre vieux pays, on a vu s’installer à l’Élysée un président nécrophage. Sarkozy, en effet, rôde nuitamment dans les cimetières de gauche et déterre, pour s’en emparer, leurs plus précieux cadavres (Guy Môquet, Jaurès, Léon Blum).
L’autre mamelle, la plus abondante, la plus nourricière, porte le nom d’« Histoire plurielle » et proclame que la France ne peut pas être la France si elle ne s’adapte pas aux populations qui y résident. Mais – trêve de mamelles – ni mon fils, collégien, ni moi ne buvons de ce lait-là...
Etudier les empires africains Songhaï et Monopata
Je parle de lui car il convient de noter que les contributions de ce site sont souvent signées par des profs du secondaire qui n’hésitent pas à donner leur nom et ceux de leurs établissements. C’est la seule raison pour laquelle je parcours les textes du CVUH : il m’importe de savoir dans quel collège ou lycée je ne dois absolument pas inscrire mon fils ! Aller sur ce site est donc une tâche d’utilité publique, fastidieuse certes. Mais parfois on est récompensé de ce dur labeur : en ouvrant l’huître du CVUH, on peut y trouver des perles...
Ainsi, dans un article récent, une historienne se gaussait des nostalgiques de Vercingétorix, Charlemagne et Napoléon qui avaient osé critiquer l’introduction dans les programmes de cinquième de l’étude des empires médiévaux africains Songhaï et Monopata [1]. Et c’est ainsi qu’elle écrasait ces franchouillards, adversaires de l’« Histoire plurielle » : « Le petit Mohamed ou le petit Mamadou ont quand même le droit de rêver : le petit Corse Napoléon ne fut-il pas un modèle d’“intégration réussie” ? Ils peuvent aussi rêver de se faire baptiser à Reims comme Clovis avant de repousser Charles Martel à Poitiers. » Je ne suis pas convaincu que le but de l’enseignement de l’histoire soit de faire rêver « Mohamed et Mamadou ». En revanche, je suis certain que la finalité de l’école est qu’on y apprenne quelque chose. Et selon moi, voilà ce que pourraient apprendre sur la France Mohamed, Mamadou, Pierre, Paul, Jacques (il y en a quand même quelques-uns), Eytan, Sarah, Artem, Julio, Igor, Mercedes et Natacha.
La France c'est...
La France, c’est une comptine : « Vendôme / Mes amis, que reste-t-il à ce Dauphin / Si gentil / Orléans, Beaugency / Notre-Dame de Cléry / Vendôme, Vendôme. » Je n’ai pas voulu essayer de remplacer ces noms par ceux de quelques localités de Songhaï et Monopata... La France, c’est une barricade : celle où tombe Gavroche. La France, c’est Léopold Sédar Senghor, Sénégalais, grand poète français et élu à l’Académie française. La France, c’est l’écrivain Georges Bernanos, homme de droite, fervent catholique et antisémite qui, dans Les Grands Cimetières sous la lune, décrivit, accablé, les horreurs dont étaient capables les siens, c’est-à-dire les franquistes. La France, c’est aussi, j’ose, Jeanne d’Arc, Du Guesclin, Clovis, Louis XIV, Rabelais, Boileau, Montesquieu, Voltaire, Joseph de Maistre, Zola, Léon Bloy, Alfred Jarry, Jules Vallès, Péguy, Alain-Fournier, Aragon, Gide, Sartre, Camus.
La France, c’est Camille Desmoulins, guillotiné par Robespierre. La France, c’est Robespierre, guillotiné par les Thermidoriens. La France, c’est le commandant Galopin, un officier très catholique, torturé de façon ignoble par les rebelles toubous au Tchad. La France, c’est Vidal-Naquet, qui s’insurge contre la torture en Algérie. La France, c’est Dien Bien Phu avec ses héros, soldats courageux d’une cause coloniale inutile et condamnée à la défaite. La France, c’est Georges Charpak, Juif polonais et prix Nobel français de physique. La France, c’est un Algérien, Mouloud Ferraoun, écrivain français assassiné par l’OAS en 1962. La France, c’est celle que chantaient un Kabyle du nom de Mouloudji et un Juif russe nommé Jean Ferrat. La France, ce sont les moines de Tibhirine, décapités par des islamistes. Et cette France-là, si l’on en juge par l’étonnant succès populaire du film Des hommes et des dieux, se souvient encore qu’elle a été catholique. La France, c’est un grand poète français, le Guadeloupéen Aimé Césaire. La France, c’est un Arabe algérien et chrétien, Jean Amrouche, poète et ami de Camus. La France, c’est « Le Chant des canuts », qu’on m’a appris à aimer, et « Prends ton fusil, Grégoire », chanson royaliste, qu’on m’a appris à ne pas aimer.
Adapter ou s'adapter
La France est un fabuleux pays d’une diversité [2] historique, culturelle et idéologique exceptionnelle. Il y a chez elle suffisamment d’universalité pour attirer Mohamed et Mamadou. Et comme ils ne sont ni plus ni moins intelligents que d’autres, je ne vois pas à quel titre on prétendrait les « faire rêver » avec les empires africains de Songhaï et Monopata...
Je sais bien que la France dont je parle est aux yeux des historiens du CVUH une vieillerie bonne pour le musée. À supposer qu’ils aient raison, je n’ai rien contre les musées. On y trouve de merveilleux tableaux et de superbes sculptures. Des millions de gens viennent pour les regarder, et aucun ne s’aviserait de cracher sur les objets qui y sont exposés. Mais s’agissant des historiens du CVUH, je ne suis pas sûr...
Et puisque nous en sommes aux vieilleries, je trouve bon de rappeler qu’il fut un temps où, dans les villes et sur les routes, on trouvait des restaurants et des auberges avec des écriteaux alléchants : « Ici, on peut apporter son manger. » Les gens de peu, les ouvriers, les employés pouvaient y venir déjeuner qui avec sa gamelle, qui avec son panier de pique-nique, qui avec son sandwich. C’était sympathique. C’était...
Mais aujourd’hui, le monde étant ce qu’il est, et la libre circulation des personnes étant devenue ce qu’elle est, je ne tiens pas à ce que cet écriteau figure au fronton de nos établissements scolaires.
[1] Nous attendons avec impatience que les historiens en question nous indiquent les noms des poètes, des écrivains, des penseurs, des musiciens et des peintres qui ont contribué au rayonnement de ces deux empires exemplaires. Nous attendons également (mais sans y croire) qu’ils nous confirment que Songhaï et Monopata étaient avant tout connus pour pratiquer à grande échelle un esclavagisme monstrueux.
[2] Ne pas confondre avec « la diversité », un mot affreux, très à la mode aujourd’hui.
http://www.atlantico.fr/decryptage/vercingetorix-napoleon-dans-poubelles-histoire%E2%80%A6-61870.html
Je consulte régulièrement les textes parus sur le site d’une association nommée « Comité de vigilance face aux usages publics de l’histoire » (CVUH). On ne s’y ennuie jamais, le comique atteignant ici les plus grands sommets du cinéma burlesque américain (le talent des Marx Brothers en moins). Mais, honnêtement, ce n’est pas pour cela que j’y vais.
Place à l'histoire plurielle ?
Le CVUH, constitué d’historiens dont la plupart sont enseignants, a deux mamelles (non, non, pas « le labourage et le pâturage », chers à Henri IV et Sully, car ce serait trop ringard...). L’une d’elles s’attache à purifier la France de la souillure sarkozyenne, souillure car, pour la première fois dans l’histoire de notre vieux pays, on a vu s’installer à l’Élysée un président nécrophage. Sarkozy, en effet, rôde nuitamment dans les cimetières de gauche et déterre, pour s’en emparer, leurs plus précieux cadavres (Guy Môquet, Jaurès, Léon Blum).
L’autre mamelle, la plus abondante, la plus nourricière, porte le nom d’« Histoire plurielle » et proclame que la France ne peut pas être la France si elle ne s’adapte pas aux populations qui y résident. Mais – trêve de mamelles – ni mon fils, collégien, ni moi ne buvons de ce lait-là...
Etudier les empires africains Songhaï et Monopata
Je parle de lui car il convient de noter que les contributions de ce site sont souvent signées par des profs du secondaire qui n’hésitent pas à donner leur nom et ceux de leurs établissements. C’est la seule raison pour laquelle je parcours les textes du CVUH : il m’importe de savoir dans quel collège ou lycée je ne dois absolument pas inscrire mon fils ! Aller sur ce site est donc une tâche d’utilité publique, fastidieuse certes. Mais parfois on est récompensé de ce dur labeur : en ouvrant l’huître du CVUH, on peut y trouver des perles...
Ainsi, dans un article récent, une historienne se gaussait des nostalgiques de Vercingétorix, Charlemagne et Napoléon qui avaient osé critiquer l’introduction dans les programmes de cinquième de l’étude des empires médiévaux africains Songhaï et Monopata [1]. Et c’est ainsi qu’elle écrasait ces franchouillards, adversaires de l’« Histoire plurielle » : « Le petit Mohamed ou le petit Mamadou ont quand même le droit de rêver : le petit Corse Napoléon ne fut-il pas un modèle d’“intégration réussie” ? Ils peuvent aussi rêver de se faire baptiser à Reims comme Clovis avant de repousser Charles Martel à Poitiers. » Je ne suis pas convaincu que le but de l’enseignement de l’histoire soit de faire rêver « Mohamed et Mamadou ». En revanche, je suis certain que la finalité de l’école est qu’on y apprenne quelque chose. Et selon moi, voilà ce que pourraient apprendre sur la France Mohamed, Mamadou, Pierre, Paul, Jacques (il y en a quand même quelques-uns), Eytan, Sarah, Artem, Julio, Igor, Mercedes et Natacha.
La France c'est...
La France, c’est une comptine : « Vendôme / Mes amis, que reste-t-il à ce Dauphin / Si gentil / Orléans, Beaugency / Notre-Dame de Cléry / Vendôme, Vendôme. » Je n’ai pas voulu essayer de remplacer ces noms par ceux de quelques localités de Songhaï et Monopata... La France, c’est une barricade : celle où tombe Gavroche. La France, c’est Léopold Sédar Senghor, Sénégalais, grand poète français et élu à l’Académie française. La France, c’est l’écrivain Georges Bernanos, homme de droite, fervent catholique et antisémite qui, dans Les Grands Cimetières sous la lune, décrivit, accablé, les horreurs dont étaient capables les siens, c’est-à-dire les franquistes. La France, c’est aussi, j’ose, Jeanne d’Arc, Du Guesclin, Clovis, Louis XIV, Rabelais, Boileau, Montesquieu, Voltaire, Joseph de Maistre, Zola, Léon Bloy, Alfred Jarry, Jules Vallès, Péguy, Alain-Fournier, Aragon, Gide, Sartre, Camus.
La France, c’est Camille Desmoulins, guillotiné par Robespierre. La France, c’est Robespierre, guillotiné par les Thermidoriens. La France, c’est le commandant Galopin, un officier très catholique, torturé de façon ignoble par les rebelles toubous au Tchad. La France, c’est Vidal-Naquet, qui s’insurge contre la torture en Algérie. La France, c’est Dien Bien Phu avec ses héros, soldats courageux d’une cause coloniale inutile et condamnée à la défaite. La France, c’est Georges Charpak, Juif polonais et prix Nobel français de physique. La France, c’est un Algérien, Mouloud Ferraoun, écrivain français assassiné par l’OAS en 1962. La France, c’est celle que chantaient un Kabyle du nom de Mouloudji et un Juif russe nommé Jean Ferrat. La France, ce sont les moines de Tibhirine, décapités par des islamistes. Et cette France-là, si l’on en juge par l’étonnant succès populaire du film Des hommes et des dieux, se souvient encore qu’elle a été catholique. La France, c’est un grand poète français, le Guadeloupéen Aimé Césaire. La France, c’est un Arabe algérien et chrétien, Jean Amrouche, poète et ami de Camus. La France, c’est « Le Chant des canuts », qu’on m’a appris à aimer, et « Prends ton fusil, Grégoire », chanson royaliste, qu’on m’a appris à ne pas aimer.
Adapter ou s'adapter
La France est un fabuleux pays d’une diversité [2] historique, culturelle et idéologique exceptionnelle. Il y a chez elle suffisamment d’universalité pour attirer Mohamed et Mamadou. Et comme ils ne sont ni plus ni moins intelligents que d’autres, je ne vois pas à quel titre on prétendrait les « faire rêver » avec les empires africains de Songhaï et Monopata...
Je sais bien que la France dont je parle est aux yeux des historiens du CVUH une vieillerie bonne pour le musée. À supposer qu’ils aient raison, je n’ai rien contre les musées. On y trouve de merveilleux tableaux et de superbes sculptures. Des millions de gens viennent pour les regarder, et aucun ne s’aviserait de cracher sur les objets qui y sont exposés. Mais s’agissant des historiens du CVUH, je ne suis pas sûr...
Et puisque nous en sommes aux vieilleries, je trouve bon de rappeler qu’il fut un temps où, dans les villes et sur les routes, on trouvait des restaurants et des auberges avec des écriteaux alléchants : « Ici, on peut apporter son manger. » Les gens de peu, les ouvriers, les employés pouvaient y venir déjeuner qui avec sa gamelle, qui avec son panier de pique-nique, qui avec son sandwich. C’était sympathique. C’était...
Mais aujourd’hui, le monde étant ce qu’il est, et la libre circulation des personnes étant devenue ce qu’elle est, je ne tiens pas à ce que cet écriteau figure au fronton de nos établissements scolaires.
[1] Nous attendons avec impatience que les historiens en question nous indiquent les noms des poètes, des écrivains, des penseurs, des musiciens et des peintres qui ont contribué au rayonnement de ces deux empires exemplaires. Nous attendons également (mais sans y croire) qu’ils nous confirment que Songhaï et Monopata étaient avant tout connus pour pratiquer à grande échelle un esclavagisme monstrueux.
[2] Ne pas confondre avec « la diversité », un mot affreux, très à la mode aujourd’hui.
http://www.atlantico.fr/decryptage/vercingetorix-napoleon-dans-poubelles-histoire%E2%80%A6-61870.html
mercredi 23 mars 2011
Study: Religion May Head Toward 'Extinction' in Many Western Countries
If the authors of a new study have it right, then the Pope may want to update his résumé.
That's because men of the cloth—and religious leaders of any faith, for that matter—will be in less demand as religion slowly dies out as a part of everyday life.
Researchers at Northwestern University and the University of Arizona gathered census data in nine countries—Australia, Austria, Canada, the Czech Republic, Finland, Ireland, the Netherlands, New Zealand and Switzerland—where officials have traditionally included questions about religious affiliation in their population count. They found a steady rise in the number of people who claimed no religious affiliation over the past century. And, using "nonlinear modeling," they unpacked the relationship between religious respondents and their motivation for claiming a religion.
At its core, the research found that the perceived value of joining a religious group has decreased significantly. As the number of non-religious people swells, the appeal of joining their ranks does, too. "For societies in which the perceived utility of not adhering is greater than the utility of adhering, religion will be driven toward extinction," the study said. "People no longer see the slate of benefits as being as great as they probably did 100 years ago. It's become less socially useful."
Richard Wiener of the Research Corporation for Science Advancement told the BBC that in the Czech Republic 60% of people identify as non-affiliated with religion—the highest in the study. He also forecast that in the Netherlands the percentage of non-believers will skyrocket from 40% today to 70% by 2050. (via Montreal Gazette)
http://newsfeed.time.com/2011/03/23/study-religion-may-head-toward-extinction-in-many-western-countries/
That's because men of the cloth—and religious leaders of any faith, for that matter—will be in less demand as religion slowly dies out as a part of everyday life.
Researchers at Northwestern University and the University of Arizona gathered census data in nine countries—Australia, Austria, Canada, the Czech Republic, Finland, Ireland, the Netherlands, New Zealand and Switzerland—where officials have traditionally included questions about religious affiliation in their population count. They found a steady rise in the number of people who claimed no religious affiliation over the past century. And, using "nonlinear modeling," they unpacked the relationship between religious respondents and their motivation for claiming a religion.
At its core, the research found that the perceived value of joining a religious group has decreased significantly. As the number of non-religious people swells, the appeal of joining their ranks does, too. "For societies in which the perceived utility of not adhering is greater than the utility of adhering, religion will be driven toward extinction," the study said. "People no longer see the slate of benefits as being as great as they probably did 100 years ago. It's become less socially useful."
Richard Wiener of the Research Corporation for Science Advancement told the BBC that in the Czech Republic 60% of people identify as non-affiliated with religion—the highest in the study. He also forecast that in the Netherlands the percentage of non-believers will skyrocket from 40% today to 70% by 2050. (via Montreal Gazette)
http://newsfeed.time.com/2011/03/23/study-religion-may-head-toward-extinction-in-many-western-countries/
mercredi 16 mars 2011
jeudi 10 mars 2011
La France championne des dépenses en médicaments
Le Point.fr
Les Français sont les premiers consommateurs européens de médicaments, ex aequo avec les Espagnols.
La France a réussi, ces dernières années, à modérer son appétit notoire de médicaments, réduisant l'écart de consommation avec ses voisins, mais elle n'en reste pas moins la championne des dépenses dans ce domaine. L'explication réside dans la tendance française à prescrire plus qu'ailleurs des produits récents et plus chers, au détriment de molécules ayant des génériques, selon l'Assurance maladie, qui a livré, jeudi, les résultats d'une comparaison de sept pays européens entre 2006 et 2009. Elle a évalué la consommation dans les principales classes de médicaments en Allemagne, en Espagne, en France, en Italie, aux Pays-Bas, au Royaume-Uni et en Suisse. "Si la France continue d'occuper, ex aequo avec l'Espagne, le second rang européen en termes de volumes consommés, l'écart avec les autres pays européens se réduit de manière significative", se sont félicités les auteurs.
Parmi les pays observés, la France est celui qui a connu "la plus faible évolution en volume" de sa consommation. L'écart de consommation, qui était de 15 % en moyenne en 2006 entre la France et ses voisins, est passé à 6 % en 2009. "C'est un résultat majeur", a lancé le Pr Hubert Allemand, médecin-conseil national de l'Assurance maladie, lors d'une conférence de presse, mettant ce résultat à l'actif des mesures prises pour responsabiliser médecins et assurés. Ces efforts ont eu des effets sensibles, notamment dans le domaine des "inhibiteurs de la pompe à protons" (antiulcéreux), où la France est passée du 2e au 5e rang des volumes consommés entre 2006 et 2009
Baisse des antidépresseurs
"Seule la France enregistre un recul des volumes d'antidépresseurs", passant de la 1re à la 3e place des plus gros consommateurs, ont aussi relevé les auteurs. Mais la France est restée largement en tête des dépenses sur toutes les classes de médicaments étudiées, même dans celles où elle consomme moins que d'autres. Elle a ainsi dépensé 114 euros par habitant en 2009, contre 94 euros en Espagne ou 70 euros en Allemagne. Seule la Suisse peut rivaliser avec ses 107 euros. Quant au Royaume-Uni, plus gros consommateur en volume, il a aussi les dépenses les plus faibles (59 euros). Un effet de taux de change explique en partie ce paradoxe, lié aussi à une "politique de baisses de prix très importantes".(...)
Les Français sont les premiers consommateurs européens de médicaments, ex aequo avec les Espagnols.
La France a réussi, ces dernières années, à modérer son appétit notoire de médicaments, réduisant l'écart de consommation avec ses voisins, mais elle n'en reste pas moins la championne des dépenses dans ce domaine. L'explication réside dans la tendance française à prescrire plus qu'ailleurs des produits récents et plus chers, au détriment de molécules ayant des génériques, selon l'Assurance maladie, qui a livré, jeudi, les résultats d'une comparaison de sept pays européens entre 2006 et 2009. Elle a évalué la consommation dans les principales classes de médicaments en Allemagne, en Espagne, en France, en Italie, aux Pays-Bas, au Royaume-Uni et en Suisse. "Si la France continue d'occuper, ex aequo avec l'Espagne, le second rang européen en termes de volumes consommés, l'écart avec les autres pays européens se réduit de manière significative", se sont félicités les auteurs.
Parmi les pays observés, la France est celui qui a connu "la plus faible évolution en volume" de sa consommation. L'écart de consommation, qui était de 15 % en moyenne en 2006 entre la France et ses voisins, est passé à 6 % en 2009. "C'est un résultat majeur", a lancé le Pr Hubert Allemand, médecin-conseil national de l'Assurance maladie, lors d'une conférence de presse, mettant ce résultat à l'actif des mesures prises pour responsabiliser médecins et assurés. Ces efforts ont eu des effets sensibles, notamment dans le domaine des "inhibiteurs de la pompe à protons" (antiulcéreux), où la France est passée du 2e au 5e rang des volumes consommés entre 2006 et 2009
Baisse des antidépresseurs
"Seule la France enregistre un recul des volumes d'antidépresseurs", passant de la 1re à la 3e place des plus gros consommateurs, ont aussi relevé les auteurs. Mais la France est restée largement en tête des dépenses sur toutes les classes de médicaments étudiées, même dans celles où elle consomme moins que d'autres. Elle a ainsi dépensé 114 euros par habitant en 2009, contre 94 euros en Espagne ou 70 euros en Allemagne. Seule la Suisse peut rivaliser avec ses 107 euros. Quant au Royaume-Uni, plus gros consommateur en volume, il a aussi les dépenses les plus faibles (59 euros). Un effet de taux de change explique en partie ce paradoxe, lié aussi à une "politique de baisses de prix très importantes".(...)
mercredi 9 mars 2011
L’homme de 2011 est une femme comme les autres
Les hommes n'existent plus
A 31 ans, l'écrivain Tristane Banon regarde les hommes se "féminiser". Et reste célibataire.
J’ai 31 ans et je suis célibataire. Pas que je ne trouve pas d’homme à qui je convienne, ou plutôt si, car les hommes n’existent plus. J’ai 31 ans et mon ex faisait un régime macrobiotique, le précédent m’expliquait que les lingettes imprégnées de Monsieur Propre étaient une aberration écologique et qu’il convenait de récurer l’évier avec une éponge et du Cif, celui d’avant encore avait décidé de troquer sa pause déjeuner contre une séance de fitness à la salle de sport.
Portrait de l'homme des années 2000
Lorsque je promène mon braque au bois de Boulogne, des pères célibataires, bébés-poussette au bout des bras, m’expliquent l’inconvénient de la couche Pampers sur les fesses irritables du petit schtroumpf de onze mois. Ils continuent sur le bilan carbone de la chose à scratch et concluent sur leur probable retour imminent à la bonne vieille version tissu lavable de la chose. « Oui, peut-être, je ne sais pas, je n’ai pas d’avis sur la question », c’est tout ce que je sais répondre.
Au restaurant, rares sont ceux qui assument l’entrée-plat-dessert mauvais pour la ligne, car quand ils ne sont pas complètement à la diète, ils se « surveillent ». L’homme de 2011 est une femme comme les autres, une femme au foyer modèle, une femme fatale parfois, une femme-objet même…L’homme des années 2000 est toutes les femmes, dans ce qu’elles ont de pire !
Les familles pullulent de « Tanguy » qui squattent chez papa-maman avant de migrer directement chez mademoiselle, qu’il transformeront en Madame sans nécessairement trouver bon d’apprendre à gagner leur vie entre-temps, après tout « ma femme a une bonne situation, et il faut bien quelqu’un pour garder les enfants ». Pourquoi personne n’est-il surpris que les « Tanguettes » n’aient pas fait leur apparition dans le langage courant au même titre que leur homologue masculin ? Parce que l’homme est aussi une femme entretenue quand la femme a gagné son indépendance en réclamant le droit au travail. La dernière fois qu’un homme m’a accosté vulgairement et sans finesse dans la rue, le garçon qui m’accompagnait n’a pas bronché, « la violence ne sert à rien » m’a-t-il dit. Mon chien, lui, a montré les crocs. J’ai failli demander mon chien en mariage !
Où sont les hommes ?
Avant, c’était dans un autre siècle, une autre civilisation, c’était avant mai 68 et la libéralisation de la femme, en ce temps reculé, les hommes protégeaient les femmes qui acceptaient, en échange, un rôle bien à elle. Est-ce revenir au machisme et au sexisme d’antan d’avouer que les hommes relativisent beaucoup plus les problèmes d’argent quand les femmes gèrent plus aisément l’intendance du quotidien ? Bien sûr, des choses devaient changer, et tant mieux qu’elles l’aient fait. Bien sûr, ces mesdemoiselles devaient s’imposer dans les milieux professionnels, politiques, sportifs. Bien sûr tout ça. Mais quand je vois que la femme gagne toujours, à poste égal, un salaire bien inférieur à monsieur qui ne prend même plus la peine de l’inviter au restaurant pour la draguer car ça serait une sorte de machisme, « nous sommes égaux, payons à deux » ; quand je vois ça, je ne suis pas certaine que nous ayons gagné au change.
Mesdames, poussons le vice jusqu’au bout : pour 2011 c’est trop tard, mais pour 2012 soyons reconnaissantes pour toutes ces femmes à barbe et instaurons la journée de l’homme !
Atlantico.fr
mardi 8 mars 2011
65 euros l'esclave
Le prix d'achat des "esclaves" est tombé à un niveau historiquement bas: il est possible d'en acquérir un pour 90 dollars à peine (soit 65 euros), selon le spécialiste de l'esclavagisme contemporain Kevin Bales, cité par CNN.
Pire, la surpopulation a transformé l'humain en marchandise bon marché et facile à remplacer. "Si (les esclaves) tombent malades, où est l'intérêt de payer les médicaments? Cela revient moins cher de les laisser mourir et d'en acheter un nouveau plutôt que d'aider ceux que vous avez déjà", détaille M. Bales, président de l'organisation non-gouvernementale Free The Slaves.
Actuellement, on estime le nombre d'esclaves actifs à travers le monde entre 12 et 30 millions, selon les sources. Ils sont principalement utilisés dans les ateliers clandestins et dans la prostitution, mais aussi dans des domaines moins évidents comme le commerce du café et du thé, l'industrie alimentaire ou les soins de santé. (SC)
dimanche 6 mars 2011
Pourquoi investir à Rio coûte plus cher qu'à New York
Copyright Reuters
Car Rio est devenue la quatrième ville la plus chère au monde, derrière Tokyo, Londres et Hong-Kong, mais devant New York, qu'elle coiffe au poteau, selon Cushman & Wakefield. La cité reflète la bonne santé économique du Brésil et ses presque 8 % de croissance en 2010.
En dix ans, les prix ont été multiplié par huit
C'est une aubaine pour tous ceux qui ont investi dans l'immobilier : selon les calculs de la Fondation Getulio Vargas, les locaux commerciaux ont connu une valorisation de 700 % entre 2000 et 2010, soit bien plus que les 500 % de Sao Paulo, la capitale économique du pays. Idem pour le résidentiel : à Sao Paulo, les prix d'achat ont bondi de 79 % ces trois dernières années, et de 95 % à Rio. La différence s'explique en partie par l'offre limitée de Rio de Janeiro : les zones convoitées sont coincées entre plages et collines.
Ce boom témoigne aussi de la renaissance carioca. La ville profite de la bonne entente entre l'État fédéral, le gouvernement de l'État de Rio et la municipalité. Le phénomène - inédit depuis vingt ans - a facilité le flux d'investissements publics. Et l'amélioration de la sécurité, autre effet de cette bonne collaboration, attire entreprises et touristes. La perspective des Jeux Olympiques (2016) et de la Coupe du monde de football (2014) font aussi miroiter une avalanche de bénéfices. Sans oublier les programmes d'investissements de la compagnie minière Vale et de Petrobras, les deux premiers groupes du pays, dont les sièges sociaux sont à Rio de Janeiro.
Ces perspectives n'annoncent aucune accalmie, ou à la marge. « Il faut ne rien acheter avant la mi-mars », juge un avocat spécialisé dans l'immobilier. « En ce moment, les prix sont encore plus délirants, car c'est bientôt le carnaval. On veut profiter de l'afflux de riches touristes. Attendez le mercredi des cendres et ça ira un peu mieux ! », conclut-il.
jeudi 3 mars 2011
Les USA vont tester la RDA, un scanner ADN “low-cost”
Le ministère de la sécurité intérieure (DHS) américain va tester cet été un petit scanner ADN portable capable de vérifier l’identité et la parenté d’un individu “à 99,99%” en moins d’une heure, et pour 100$ seulement, quand une analyse génétique “classique” prend plusieurs jours, voire semaines, et coûte 500$ environ, rapporte l’agence NextGov.
Objectifs : vérifier la parenté des réfugiés et demandeurs d’asile, mais également celle des adultes qui décident de faire adopter leurs enfants, ou qui viennent précisément récupérer des enfants dans le cadre du regroupement familial.
Le scanner ADN pourrait également, et “éventuellement“, être utilisé pour identifier criminels, migrants illégaux, personnes disparues et victimes de catastrophes naturelles ou meurtres de masse, a déclaré Christopher Miles, responsable du programme biométrique au bureau des sciences et technologies du DHS.(...)
http://bugbrother.blog.lemonde.fr/2011/03/02/les-usa-vont-tester-la-rda-un-scanner-adn-low-cost/
Objectifs : vérifier la parenté des réfugiés et demandeurs d’asile, mais également celle des adultes qui décident de faire adopter leurs enfants, ou qui viennent précisément récupérer des enfants dans le cadre du regroupement familial.
Le scanner ADN pourrait également, et “éventuellement“, être utilisé pour identifier criminels, migrants illégaux, personnes disparues et victimes de catastrophes naturelles ou meurtres de masse, a déclaré Christopher Miles, responsable du programme biométrique au bureau des sciences et technologies du DHS.(...)
http://bugbrother.blog.lemonde.fr/2011/03/02/les-usa-vont-tester-la-rda-un-scanner-adn-low-cost/
mercredi 2 mars 2011
Où sont formés les dirigeants des 500 plus grandes entreprises mondiales?
Depuis cinq ans, l’école des Mines ParisTech publie un « classement international des établissements d’enseignement supérieur » fondé sur leur capacité à former des dirigeants de haut niveau en retenant comme critère exclusif le nombre d’anciens élèves occupant le poste de n°1 exécutif («chief executive officer» ou équivalent). Le tout en partant du classement des 500 plus grandes entreprises internationales du classement « Fortune Global 500 » établi par le magazine Fortune en 2010 à partir du chiffre d’affaires publié par les entreprises mondiales. Une méthodologie proche a d’ailleurs été employée l’année dernière par le magazine “Challenges” pour la France en regardant d’où venaient les personnalités répertoriées dans le Who’s Who, l’annuaire de ceux qui « comptent en France ».
Des approches controversées car jugées élitiste et donnant la part trop belle aux grandes écoles. Pour autant, il faut aussi reconnaître que les critères retenus sont justes et certaines conclusions intéressantes. Par exemple on apprend dans l’étude de l’Ecole des Mines que seules 15 écoles dans le monde ont produit quatre dirigeants ou plus de grandes entreprises, 28 ont produit trois dirigeants ou plus et 58 deux dirigeants.(...)
Classement de l’Ecole des Mines : les institutions
Rang/ Institution/ Pays/ Points
1 Harvard University USA 17,00
2 Tokyo University Japan 13,00
3 Keio University Japan 11,50
4 HEC France 6,67
5 Kyoto University Japan 6,00
5 University Oxford United Kingdom 6,00
7 Ecole Polytechnique France 5,75
8 Waseda University Japan 5,50
9 ENA France 5,42
10 Seoul Natl University South Korea 5,17
11 University Pennsylvania USA 5,00
12 Columbia University USA 4,17
13 Stanford University USA 4,00
13 Tohoku University Japan 4,00
13 University Nottingham United Kingdom 4,00
16 Massachusetts Inst Tech (MIT) USA 3,83
17 Sciences Po - Paris France 3,67
18 University St Gallen (HSG) Switzerland 3,50
19 University Sao Paulo Brazil 3,33
19 Northwestern University USA 3,33
21 INSEAD France 3,17
21 University Chicago USA 3,17
21 Ecole des Mines - ParisTech France 3,17
21 Vienna Univ Economics Business Austria 3,17
Les pays qui l’emportent
Et pays par pays en cumulant les points obtenus par les établissements, l’Ecole des Mines arrive au classement suivant, plutôt flatteur pour la France certes distancée par les Etats-Unis et le Japon mais précédant la Chine, la Grande-Bretagne et encore plus largement l’Allemagne. A noter, les très fortes positions de la Suisse (7ème) et de l’Autriche (14ème) : deux petits pays qui comptent.
* Classement de l’Ecole des Mines : les pays
* 1 USA 154,58
* 2 Japon 64,00
* 3 France 40,08
* 4 Chine 35,75
* 5 Grande Bretagne 32,08
* 6 Allemagne 25,42
* 7 Suisse 12,50
* 8 Canada 9,75
* 9 Espagne 8,50
* 10 Pays-Bas 7,67
* 11 Italie 7,50
* 12 Corée du Sud 7,33
* 13 Inde 7,17
* 14 Autriche 7,00
* 15 Brésil 6,33
* 16 Belgique 5,33
* 17 Russie 5,00
* 18 Australie 4,17
* 19 Suède 4,00
* 20 Taïwan 3,50
Eh oui, à défaut de savoir former ses jeunes en masse, l’enseignement supérieur français sait former des élites qui montent ensuite dans les échelons des grandes entreprises du monde entier. Sans parler des grands organismes internationaux dirigés par des Français comme Dominique Strauss-Kahn au FMI ou Jean-Claude Trichet à la Banque centrale européenne.
http://orientation.blog.lemonde.fr/2011/03/02/ou-sont-formes-les-dirigeants-des-500-plus-grandes-entreprises-mondiales/
Des approches controversées car jugées élitiste et donnant la part trop belle aux grandes écoles. Pour autant, il faut aussi reconnaître que les critères retenus sont justes et certaines conclusions intéressantes. Par exemple on apprend dans l’étude de l’Ecole des Mines que seules 15 écoles dans le monde ont produit quatre dirigeants ou plus de grandes entreprises, 28 ont produit trois dirigeants ou plus et 58 deux dirigeants.(...)
Classement de l’Ecole des Mines : les institutions
Rang/ Institution/ Pays/ Points
1 Harvard University USA 17,00
2 Tokyo University Japan 13,00
3 Keio University Japan 11,50
4 HEC France 6,67
5 Kyoto University Japan 6,00
5 University Oxford United Kingdom 6,00
7 Ecole Polytechnique France 5,75
8 Waseda University Japan 5,50
9 ENA France 5,42
10 Seoul Natl University South Korea 5,17
11 University Pennsylvania USA 5,00
12 Columbia University USA 4,17
13 Stanford University USA 4,00
13 Tohoku University Japan 4,00
13 University Nottingham United Kingdom 4,00
16 Massachusetts Inst Tech (MIT) USA 3,83
17 Sciences Po - Paris France 3,67
18 University St Gallen (HSG) Switzerland 3,50
19 University Sao Paulo Brazil 3,33
19 Northwestern University USA 3,33
21 INSEAD France 3,17
21 University Chicago USA 3,17
21 Ecole des Mines - ParisTech France 3,17
21 Vienna Univ Economics Business Austria 3,17
Les pays qui l’emportent
Et pays par pays en cumulant les points obtenus par les établissements, l’Ecole des Mines arrive au classement suivant, plutôt flatteur pour la France certes distancée par les Etats-Unis et le Japon mais précédant la Chine, la Grande-Bretagne et encore plus largement l’Allemagne. A noter, les très fortes positions de la Suisse (7ème) et de l’Autriche (14ème) : deux petits pays qui comptent.
* Classement de l’Ecole des Mines : les pays
* 1 USA 154,58
* 2 Japon 64,00
* 3 France 40,08
* 4 Chine 35,75
* 5 Grande Bretagne 32,08
* 6 Allemagne 25,42
* 7 Suisse 12,50
* 8 Canada 9,75
* 9 Espagne 8,50
* 10 Pays-Bas 7,67
* 11 Italie 7,50
* 12 Corée du Sud 7,33
* 13 Inde 7,17
* 14 Autriche 7,00
* 15 Brésil 6,33
* 16 Belgique 5,33
* 17 Russie 5,00
* 18 Australie 4,17
* 19 Suède 4,00
* 20 Taïwan 3,50
Eh oui, à défaut de savoir former ses jeunes en masse, l’enseignement supérieur français sait former des élites qui montent ensuite dans les échelons des grandes entreprises du monde entier. Sans parler des grands organismes internationaux dirigés par des Français comme Dominique Strauss-Kahn au FMI ou Jean-Claude Trichet à la Banque centrale européenne.
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