BRUSSELS: The European Union on Monday demanded that the United States offer equal treatment in the granting of visas to citizens of all 27 of the bloc's member countries. The call was an effort to resolve an issue that has cast a shadow over trans-Atlantic relations and angered new member states whose citizens face restrictions under the current U.S. visa-waiver program.
The bloc's justice commissioner, Franco Frattini, said in Budapest that he had spoken to U.S. officials to seek assurances that the waiver be applied to all EU citizens.
The waiver program now allows citizens from most West European countries to enter the United States without visas. It excludes several of the newer EU member states.
The two-tier system has prompted an outcry in Poland, Hungary and the Czech Republic, which are closely allied with the United States and have sent troops to Iraq and Afghanistan. They have called on the EU to retaliate by imposing restrictions on U.S. diplomats entering Europe.
"We can no longer tolerate first- and second-class member states, that's definitely not acceptable," Frattini said at a news conference with Prime Minister Ferenc Gyurcsany of Hungary. He also met with Foreign Minister Kinga Goncz and the German foreign minister, Frank-Walter Steinmeier.
Frattini said that Washington was working on a bill that would equalize the visa requirements for all EU states. The legislation, contained in an omnibus homeland security bill, was approved by Congress on Friday and is now awaiting President George W. Bush's signature.
EU officials are concerned that a new U.S. electronic visa proposal could create new obstacles to last-minute travelers because additional rules under consideration would require new security checks to be carried out.
European travelers would be asked to give passport and other details to the U.S. authorities electronically - personally or through a travel agent - which could force Europeans to give two day's notice before flying to the United States, a time frame that could hamper business travel.
Under the proposal, a "green light" transmitted electronically would confirm that visa-free travel was allowed, while a yellow light would require the traveler to be interviewed at a U.S. consulate. That has created concerns in Europe that processing the information could delay travelers. Citizens of Britain, for instance, which has faced terrorist attacks, could be subjected to greater scrutiny.
U.S. officials said that the new travel bill had been passed, but that the regulations for its implementation still had to be drafted by the security authorities. "The Europeans have expressed their concerns and we are aware of them," said one official who requested anonymity.
In response to the Bush administration's proposals to introduce electronic visas for all European travelers, the EU is considering responding by introducing a similar system for American travelers coming to Europe.
Americans, who now can travel to any EU member state with a valid passport, would have to submit passport information and other personal data through the Internet to apply for electronic travel authorization.
source: http://www.iht.com/articles/2007/07/30/news/visa.php
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Les dernières lignes me font penser a l'attitude des brésiliens qui ne se gènent pas pour appliquer (même avec les USA) la règle de réciprocité.
ils y perdent des millions de dollars par la même occasion...
s'ils n'étaient pas aussi fascinés par les USA, ça aurait un sens mais là je comprends pas trop.
la plupart des brésiliens vs expliqueront tel des perroquets a quel point tout est tj mieux chez l'oncle Sam et en même temps se donnent de grands airs:
aprés le 11 septembre par ex, ils faisaient passer aux américains a leur arrivée le même traitement que les touristes se rendant aux USA, c.a.d relevé d'empreintes dés la descente d'avion, interview, prise de photo... ils ont finalement renoncé a ces méthodes.
Money talks...
Cependant, pour les américains, un visa pour voyager en Europe + relevé d'empreintes leur ferait le plus grand bien!
mardi 31 juillet 2007
lundi 30 juillet 2007
De plus en plus d’Américains optent pour le Canadian Dream
(...) Non seulement les immigrants en provenance des États-Unis seraient deux fois plus nombreux depuis 2001, mais ils formeraient aujourd’hui le groupe le plus instruit parmi les nouveaux arrivants au Canada.
(...) En 2006, 10 942 ressortissants des États-Unis ont obtenu leur citoyenneté canadienne. Ils étaient 5 910 en 2001. De plus en plus prennent même le chemin du Québec: 1000 l’ont choisi en 2006, une hausse de 300 personnes qui lui a permis de supplanter l’Alberta à la troisième place de ce palmarès, après l’Ontario et la Colombie-Britannique.(...)
Les données de l’étude sont basées sur celles d’Immigration Canada et du bureau de l’Immigration et de la citoyenneté des États-Unis.
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Si j'étais américain, c'est exactement ce que j'aurais fait...
source: cyberpresse
(...) En 2006, 10 942 ressortissants des États-Unis ont obtenu leur citoyenneté canadienne. Ils étaient 5 910 en 2001. De plus en plus prennent même le chemin du Québec: 1000 l’ont choisi en 2006, une hausse de 300 personnes qui lui a permis de supplanter l’Alberta à la troisième place de ce palmarès, après l’Ontario et la Colombie-Britannique.(...)
Les données de l’étude sont basées sur celles d’Immigration Canada et du bureau de l’Immigration et de la citoyenneté des États-Unis.
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Si j'étais américain, c'est exactement ce que j'aurais fait...
source: cyberpresse
(USA) Le tourisme peine à retrouver son niveau pré-2001
La faiblesse du dollar est une aubaine pour le tourisme aux Etats-Unis, mais cela ne suffit pas à faire revenir la fréquentation aux niveaux d'avant 2001, selon les professionnels du secteur qui appellent à un plan d'aide publique de 200 millions de dollars.
Le gros problème du secteur est la mauvaise image dont souffrent les Etats-Unis, qui a entraîné une nette baisse de la fréquentation depuis plusieurs années: selon les derniers chiffres disponibles pour 2005, les Etats-Unis accueillent 17% de visiteurs en moins qu'avant 2001.
Aussi les professionnels du tourisme font campagne pour obtenir du gouvernement qu'il intensifie ses efforts de promotion afin de restaurer l'image de marque des Etats-Unis à l'étranger.
(...)Il plaide pour une amélioration du système d'entrée aux Etats-Unis, qu'il juge "inefficace", et qui "traite les gens comme des criminels à la frontière". "Tout cela fait que les gens ne se sentent pas bienvenus", ajoute-t-il.
M. Rasulo souligne que la baisse du tourisme affecte l'ensemble de l'économie. Selon Discover America Partnership, cela a abouti à un manque à gagner de 93 milliards de dollars et à la perte de 194.000 emplois entre 2000 et 2005.
"Cela ne concerne pas que le secteur du tourisme, mais aussi la santé, les universités -- les Jeux Olympiques", ajoute-t-il, suggérant que les Etats-Unis pourraient avoir du mal à se faire confier l'organisation des Jeux s'ils n'améliorent pas leur image.
Tom Ridge, ancien secrétaire à la Sécurité intérieure, estime que l'image des Etats-Unis a surtout été affectée par quelques cas isolés de visiteurs mal traités à leur arrivée, ce qui a généré une publicité négative.
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On récolte ce que l'on sème....
http://www.france24.com/france24Public/fr/nouvelles/amerique/20070729-tourisme-dollar-faible-aide-publique-congres-USA.html
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témoignage de la star de CNN Richard Quest, animateur (anglais) de "Business-Traveller":
aéroport de Fort Lauderdale-
"(...)this traveling horror goes by the three letters FLL: Fort Lauderdale - Hollywood International Airport in Florida.
(...)Let’s concentrate instead on a woefully inadequate immigration system that has people standing in lines for hours in hot rooms with not even a seat. The immigration room has an overflow for the overflow. When asking one of the assistants if this waiting and queuing was normal he cheerfully replied, “Oh, yes.”
The immigration staff themselves have a look when you stand in front of them that basically says “Ok, you’re up to no good… convince me why I should let you in the United States. “
(...) I got the decided impression my officer was disappointed he could find no fault. His colleague made up for it by delaying my producer who then missed two flights and had to stay overnight (...)"
http://edition.cnn.com/TRAVEL/blogs/richard.quest/index.html
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Le gros problème du secteur est la mauvaise image dont souffrent les Etats-Unis, qui a entraîné une nette baisse de la fréquentation depuis plusieurs années: selon les derniers chiffres disponibles pour 2005, les Etats-Unis accueillent 17% de visiteurs en moins qu'avant 2001.
Aussi les professionnels du tourisme font campagne pour obtenir du gouvernement qu'il intensifie ses efforts de promotion afin de restaurer l'image de marque des Etats-Unis à l'étranger.
(...)Il plaide pour une amélioration du système d'entrée aux Etats-Unis, qu'il juge "inefficace", et qui "traite les gens comme des criminels à la frontière". "Tout cela fait que les gens ne se sentent pas bienvenus", ajoute-t-il.
M. Rasulo souligne que la baisse du tourisme affecte l'ensemble de l'économie. Selon Discover America Partnership, cela a abouti à un manque à gagner de 93 milliards de dollars et à la perte de 194.000 emplois entre 2000 et 2005.
"Cela ne concerne pas que le secteur du tourisme, mais aussi la santé, les universités -- les Jeux Olympiques", ajoute-t-il, suggérant que les Etats-Unis pourraient avoir du mal à se faire confier l'organisation des Jeux s'ils n'améliorent pas leur image.
Tom Ridge, ancien secrétaire à la Sécurité intérieure, estime que l'image des Etats-Unis a surtout été affectée par quelques cas isolés de visiteurs mal traités à leur arrivée, ce qui a généré une publicité négative.
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On récolte ce que l'on sème....
http://www.france24.com/france24Public/fr/nouvelles/amerique/20070729-tourisme-dollar-faible-aide-publique-congres-USA.html
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témoignage de la star de CNN Richard Quest, animateur (anglais) de "Business-Traveller":
aéroport de Fort Lauderdale-
"(...)this traveling horror goes by the three letters FLL: Fort Lauderdale - Hollywood International Airport in Florida.
(...)Let’s concentrate instead on a woefully inadequate immigration system that has people standing in lines for hours in hot rooms with not even a seat. The immigration room has an overflow for the overflow. When asking one of the assistants if this waiting and queuing was normal he cheerfully replied, “Oh, yes.”
The immigration staff themselves have a look when you stand in front of them that basically says “Ok, you’re up to no good… convince me why I should let you in the United States. “
(...) I got the decided impression my officer was disappointed he could find no fault. His colleague made up for it by delaying my producer who then missed two flights and had to stay overnight (...)"
http://edition.cnn.com/TRAVEL/blogs/richard.quest/index.html
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jeudi 26 juillet 2007
Americans coming to Brazil
Brazil adopts a reciprocity principle for visa requirements. This means that if the country you come from requires a visa for Brazilian tourists and it does not have a special treaty with Brazil, you’ll need a visa to get into Brazil. Also Brazil sets the fees to match the tourist’s country of origin. Unfortunately for Americans, Brazil matches the US visa requirements and it is therefore more expensive and complicated than for tourists of other countries.
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Americans are not used to have an ID with them so when it comes to get a passport AND a visa, well, it s kind of a good way to attract only motivated ones, the jerks will go to Mexico...
among them, many motivated black americans attracted to brazilians hookers take the time to ask for a visa....
they swarm in Copacabana around the disco-club "Help".
I'm not sure they're spreading a good image of their country but on this point i think it's hopeless anyway...
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Americans are not used to have an ID with them so when it comes to get a passport AND a visa, well, it s kind of a good way to attract only motivated ones, the jerks will go to Mexico...
among them, many motivated black americans attracted to brazilians hookers take the time to ask for a visa....
they swarm in Copacabana around the disco-club "Help".
I'm not sure they're spreading a good image of their country but on this point i think it's hopeless anyway...
mercredi 25 juillet 2007
Israël a accueilli plus de 1 600 juifs français depuis le 1er janvier
LE MONDE | 25.07.07 |
Le président de l'Etat hébreu, Shimon Pérès, devait accueillir, mercredi 25 juillet, à l'aéroport de Tel-Aviv, quelque 600 juifs de France ayant choisi de s'installer en Israël. Comme chaque année, les plus forts contingents d'immigrés, notamment les familles, font leur alya (montée en Israël) dans le courant de l'été afin d'être sur place pour la rentrée des classes.
Selon des projections, rendues publiques, lundi 23 juillet, par l'Agence juive à Jérusalem, le nombre de juifs français ayant décidé d'immigrer en Israël cette année dépasserait les 3 000 personnes.
Selon d'autres sources à Jérusalem, les projections de l'Agence juive sont à prendre avec prudence, et les chiffres seraient plutôt "à la baisse". Des estimations évaluent à 2 500 le nombre probable de nouveaux immigrés pour l'année. Depuis le début des années 2000, les chiffres annuels de l'alya tournent autour de 2 500 départs, avec un pic à 3 005 en 2005.
Commentant les projections de l'Agence juive, son représentant en France, David Rosh, estime que cette immigration ne constitue pas "une fuite", mais relève d'"un choix" et souligne que "les actes antisémites ont beaucoup baissé, cette année, en France" . Selon des chiffres fournis par la communauté juive, 129 actes antisémites ont été relevés sur les six premiers mois de l'année contre 178 sur la même période en 2006.
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Tant mieux si l'antisémitisme baisse en France, mais il ne faudrait pas que les illuminés anti-france a la sauce bushiste et murdochienne, oublient qu'Israel est le pays le plus dangereux de la planète pour les juifs parmi les démocraties!
De plus, en France, l'immense majorité des actes anti-juifs relèvent des musulmans!
comme de tout acte anti-democratie d'ailleurs, les musulmans st toujours en pointe!
http://www.youtube.com/watch?v=N6j-nRBeTYc
même la tolérante Hollande en a marre:
http://www.youtube.com/watch?v=_3rR87J8-yE
Malgré de réels problèmes en Israel, il faut quand même noter que les gays-pride existent, qu'une femme peut voter et conduire et qu'on peut critiquer le gouvernement et l'armée dans les journaux à la télé!
Impensable ds les pays voisins!
l'article n'insiste pas sur la question du retour massif de ces personnes, les estimations diffèrent d'une source a l'autre.
je pense qu'a leur place j'aurais fait la même chose mais l'ambiance en Israel pousse quand même a ne pas rester...
le chomage, l'armée obligatoire (pour y échapper, mieux vaut émigrer aprés 28 ans) l'insécurité, des militaires partout (et même des jolies!) des contrôles incessants, même pour aller au ciné , vous devrez montrer patte blanche, je comprends les raisons mais ça reste pesant.
Environ un juif français sur 2 rentrent, la proportion est d'environ 70% chez les argentins...
Bien trop de haine parsème l'histoire de ce pays
L'El-Dorado ne s'appelle pas Israel.
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Il ne faudrait pas oublier que des milliers d'israeliens quittent chaque année la "terre promise":
Yadid Berman et sa famille ont reçu la citoyenneté allemande. C'est un "ticket pour entrer à la fois en Europe et aux Etats-Unis sans visa", a-t-il déclaré. Yadid trouve aussi plus facile de voyager à l'intérieur des territoires palestiniens avec un passeport allemand. Le passeport de l'Union européenne lui a permis de vivre et d'étudier en Europe avec un budget plus raisonnable que s'il avait seulement eu son passeport israélien.
La plupart des Israéliens qui ont demandé la nationalité allemande font partie de la catégorie concernée par la politique de restauration, et de ce fait n'ont pas dû abandonner leur nationalité israélienne.
Les descendants de citoyens allemands ont le droit d'avoir leur citoyenneté "restaurée", comme le stipule l'article 116 (2) de la constitution allemande. La politique de restauration s'applique aussi à ceux dont les ancêtres ont vu leur citoyenneté révoquée par les lois de Nuremberg durant l'époque nazie.
Plus de 4 300 citoyens israéliens ont reçu la citoyenneté allemande en 2005, une augmentation de 50 % par rapport à l'année précédente, selon le Bureau Central des Statistiques.
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68 % des Israéliens veulent un passeport étranger pour leurs enfants
Selon un sondage effectué en 2003 par l'Institut Sapir, 68 % des Israéliens souhaiteraient que leurs enfants possèdent un passeport étranger. Le passeport américain arrive en tête, avec 42 %. Seuls 21 % des sondés ont déclaré ne pas être intéressés à recevoir un passeport étranger pour leur progéniture. 11 % ne se sont pas prononcés.
67 % des Israéliens de la seconde génération sont pour cette idée, et 72 % des nouveaux immigrants.
Des centaines de milliers d'Israéliens possèdent la double nationalité : 80-100 000 Israéliens possèdent la nationalité allemande, 90 000 la nationalité russe, 70 000 argentine, 60 000 française, 35 000 la nationalité britannique.
source: http://www.fr.jpost.com
Le président de l'Etat hébreu, Shimon Pérès, devait accueillir, mercredi 25 juillet, à l'aéroport de Tel-Aviv, quelque 600 juifs de France ayant choisi de s'installer en Israël. Comme chaque année, les plus forts contingents d'immigrés, notamment les familles, font leur alya (montée en Israël) dans le courant de l'été afin d'être sur place pour la rentrée des classes.
Selon des projections, rendues publiques, lundi 23 juillet, par l'Agence juive à Jérusalem, le nombre de juifs français ayant décidé d'immigrer en Israël cette année dépasserait les 3 000 personnes.
Selon d'autres sources à Jérusalem, les projections de l'Agence juive sont à prendre avec prudence, et les chiffres seraient plutôt "à la baisse". Des estimations évaluent à 2 500 le nombre probable de nouveaux immigrés pour l'année. Depuis le début des années 2000, les chiffres annuels de l'alya tournent autour de 2 500 départs, avec un pic à 3 005 en 2005.
Commentant les projections de l'Agence juive, son représentant en France, David Rosh, estime que cette immigration ne constitue pas "une fuite", mais relève d'"un choix" et souligne que "les actes antisémites ont beaucoup baissé, cette année, en France" . Selon des chiffres fournis par la communauté juive, 129 actes antisémites ont été relevés sur les six premiers mois de l'année contre 178 sur la même période en 2006.
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Tant mieux si l'antisémitisme baisse en France, mais il ne faudrait pas que les illuminés anti-france a la sauce bushiste et murdochienne, oublient qu'Israel est le pays le plus dangereux de la planète pour les juifs parmi les démocraties!
De plus, en France, l'immense majorité des actes anti-juifs relèvent des musulmans!
comme de tout acte anti-democratie d'ailleurs, les musulmans st toujours en pointe!
http://www.youtube.com/watch?v=N6j-nRBeTYc
même la tolérante Hollande en a marre:
http://www.youtube.com/watch?v=_3rR87J8-yE
Malgré de réels problèmes en Israel, il faut quand même noter que les gays-pride existent, qu'une femme peut voter et conduire et qu'on peut critiquer le gouvernement et l'armée dans les journaux à la télé!
Impensable ds les pays voisins!
l'article n'insiste pas sur la question du retour massif de ces personnes, les estimations diffèrent d'une source a l'autre.
je pense qu'a leur place j'aurais fait la même chose mais l'ambiance en Israel pousse quand même a ne pas rester...
le chomage, l'armée obligatoire (pour y échapper, mieux vaut émigrer aprés 28 ans) l'insécurité, des militaires partout (et même des jolies!) des contrôles incessants, même pour aller au ciné , vous devrez montrer patte blanche, je comprends les raisons mais ça reste pesant.
Environ un juif français sur 2 rentrent, la proportion est d'environ 70% chez les argentins...
Bien trop de haine parsème l'histoire de ce pays
L'El-Dorado ne s'appelle pas Israel.
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Il ne faudrait pas oublier que des milliers d'israeliens quittent chaque année la "terre promise":
Yadid Berman et sa famille ont reçu la citoyenneté allemande. C'est un "ticket pour entrer à la fois en Europe et aux Etats-Unis sans visa", a-t-il déclaré. Yadid trouve aussi plus facile de voyager à l'intérieur des territoires palestiniens avec un passeport allemand. Le passeport de l'Union européenne lui a permis de vivre et d'étudier en Europe avec un budget plus raisonnable que s'il avait seulement eu son passeport israélien.
La plupart des Israéliens qui ont demandé la nationalité allemande font partie de la catégorie concernée par la politique de restauration, et de ce fait n'ont pas dû abandonner leur nationalité israélienne.
Les descendants de citoyens allemands ont le droit d'avoir leur citoyenneté "restaurée", comme le stipule l'article 116 (2) de la constitution allemande. La politique de restauration s'applique aussi à ceux dont les ancêtres ont vu leur citoyenneté révoquée par les lois de Nuremberg durant l'époque nazie.
Plus de 4 300 citoyens israéliens ont reçu la citoyenneté allemande en 2005, une augmentation de 50 % par rapport à l'année précédente, selon le Bureau Central des Statistiques.
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68 % des Israéliens veulent un passeport étranger pour leurs enfants
Selon un sondage effectué en 2003 par l'Institut Sapir, 68 % des Israéliens souhaiteraient que leurs enfants possèdent un passeport étranger. Le passeport américain arrive en tête, avec 42 %. Seuls 21 % des sondés ont déclaré ne pas être intéressés à recevoir un passeport étranger pour leur progéniture. 11 % ne se sont pas prononcés.
67 % des Israéliens de la seconde génération sont pour cette idée, et 72 % des nouveaux immigrants.
Des centaines de milliers d'Israéliens possèdent la double nationalité : 80-100 000 Israéliens possèdent la nationalité allemande, 90 000 la nationalité russe, 70 000 argentine, 60 000 française, 35 000 la nationalité britannique.
source: http://www.fr.jpost.com
mardi 24 juillet 2007
Guantanamo
Saviez-vous que la base US de Guantanamo a la taille de la ville de Paris et que le gouvernement US verse un loyer de 4000$/an a Cuba?
on a rarement vu un locataire avec un bail si "souple", un loyer si bas et un propriétaire soi-disant révolutionnaire mais qui ferme sa gueule...
les relations entre Cuba et les USA relèvent d'une tragi-comédie dont les principales victimes sont, comme d'hab, les plus faibles ou encore les idéalistes du dimanche qui voient encore dans ce pays un El-Dorado ou tous les rêves (carcéraux?) sont possibles...
on a rarement vu un locataire avec un bail si "souple", un loyer si bas et un propriétaire soi-disant révolutionnaire mais qui ferme sa gueule...
les relations entre Cuba et les USA relèvent d'une tragi-comédie dont les principales victimes sont, comme d'hab, les plus faibles ou encore les idéalistes du dimanche qui voient encore dans ce pays un El-Dorado ou tous les rêves (carcéraux?) sont possibles...
mercredi 18 juillet 2007
Les déboires de la CNIL
La Commission nationale de l'informatique et des libertés (CNIL) est une autorité administrative indépendante française chargée de veiller à la protection des données à caractère personnel et de la vie privée. Elle a été créée par la loi n° 78-17 du 6 janvier 1978 relative à l'informatique, aux fichiers et aux libertés.
article du "monde":
(...)En marge des conflits individuels, deux exemples touchant des millions de personnes illustrent cette dérive. En 2006, le nouveau passeport biométrique et le passe Navigo ont été mis en service. Malgré cette introduction massive d'une toute nouvelle technologie - les puces radiofréquences (RFID), qu'il est possible de lire à distance -, aucun débat public n'a accompagné ce lancement. Résultat, le nouveau passeport français est plus vulnérable au piratage que son homologue américain, protégé par une feuille métallique. (...)
M. Türk (patron de la CNIL) stigmatise l'avènement d'une "société de surveillance" et craint un "endormissement" collectif sur les libertés. Cette analyse ne provoque guère de réactions, comme si, de fait, le 11-Septembre avait anesthésié toute velléité de réguler des mesures sécuritaires toujours plus contraignantes. La balle est dans le camp du citoyen. Lui seul peut justifier le renforcement des moyens de la CNIL. Il lui suffit de faire appel à ses services. Au rythme actuel, il faudrait plus de sept mille ans pour que les 23 millions de personnes fichées dans le STIC (Le système de traitement des infractions constatées (STIC) est un fichier de police informatisé français regroupant les informations concernant les auteurs d'infractions interpellés par les services de la police nationale.) accèdent aux informations personnelles qui les concernent et les vérifient.
source: Le monde
article du "monde":
(...)En marge des conflits individuels, deux exemples touchant des millions de personnes illustrent cette dérive. En 2006, le nouveau passeport biométrique et le passe Navigo ont été mis en service. Malgré cette introduction massive d'une toute nouvelle technologie - les puces radiofréquences (RFID), qu'il est possible de lire à distance -, aucun débat public n'a accompagné ce lancement. Résultat, le nouveau passeport français est plus vulnérable au piratage que son homologue américain, protégé par une feuille métallique. (...)
M. Türk (patron de la CNIL) stigmatise l'avènement d'une "société de surveillance" et craint un "endormissement" collectif sur les libertés. Cette analyse ne provoque guère de réactions, comme si, de fait, le 11-Septembre avait anesthésié toute velléité de réguler des mesures sécuritaires toujours plus contraignantes. La balle est dans le camp du citoyen. Lui seul peut justifier le renforcement des moyens de la CNIL. Il lui suffit de faire appel à ses services. Au rythme actuel, il faudrait plus de sept mille ans pour que les 23 millions de personnes fichées dans le STIC (Le système de traitement des infractions constatées (STIC) est un fichier de police informatisé français regroupant les informations concernant les auteurs d'infractions interpellés par les services de la police nationale.) accèdent aux informations personnelles qui les concernent et les vérifient.
source: Le monde
vendredi 13 juillet 2007
MON AMÉRIQUE À MOI • Adieu, pays des libertés... par Jeff Danziger
MON AMÉRIQUE À MOI • Adieu, pays des libertés...
Les Américains ont désormais besoin d'un passeport même lorsqu'ils se rendent dans les pays frontaliers. Le chroniqueur et dessinateur Jeff Danziger, qui vient tout juste de recevoir le sien, se moque du patriotisme dégoulinant de la nouvelle pièce d'identité.
Le gouvernement américain vient d'annoncer que l'emblème des Etats-Unis, le pygargue [son nom anglais, bald eagle, signifie littéralement : aigle chauve], a été retiré de la liste des espèces menacées. Sa chasse est toujours interdite, mais on ne peut plus brandir la menace de sa disparition pour protéger son habitat. Cela signifie que des routes pourront être construites et des arbres coupés dans les montagnes où il trouve refuge. On peut faire confiance au gang Bush pour ne pas laisser la survie de l'emblème national nous empêcher de gagner quelques dollars.
Une autre nouvelle a semé l'affolement dans toute l'Amérique : le département d'Etat a pris un énorme retard dans la délivrance des passeports. Seuls 18 % environ des Américains en possèdent un. Jusqu'à présent, nous n'avions pas besoin de passeport pour rejoindre la plupart de nos lieux de vacances. Mais, à cette époque de "terreur" qui est la nôtre, il nous en faut un pour chaque visite à nos amis* du Nord et nuestros amigos du Sud et, ce qui est plus important encore, pour pouvoir rentrer à la maison ensuite [les Américains sont désormais obligés de détenir un passeport pour se rendre au Canada, au Mexique, aux Bermudes et dans les Caraïbes]. La demande de passeports a donc été aussi soudaine que massive : on parle aujourd'hui de délais de plusieurs mois.
Je viens juste de recevoir la version remaniée et relookée du mien. Il y a sur la couverture un petit truc bizarre, qui a l'air électronique et ressemble au logo de la chaîne de fast-food Burger King. Il contient apparemment une sorte de puce qui permet au gouvernement de savoir où je me suis rendu. Mais les Américains n'aiment pas l'idée que le gouvernement puisse faire ce genre de chose. Alors, pour parer à toute accusation d'entrave à la liberté, le nouveau passeport dégouline de patriotisme. Les pages réservées aux diverses mentions, qui portaient auparavant une empreinte légère des sceaux des cinquante Etats, sont maintenant une véritable parade des grands symboles patriotiques – parmi lesquels figure le pygargue susmentionné.
Sur la première page, on peut voir Francis Scott Key, l'auteur des paroles de The Star-Spangled Banner [la Bannière étoilée], en train de contempler le fort McHenry en composant les paroles de notre hymne national impossible à chanter. La page suivante comporte une citation du discours de Lincoln à Gettysburg, discours qui est devenu parole d'Evangile dans ce pays. Sur la troisième page, face à ma photographie d'identité et aux renseignements sur ma personne, figurent une énorme tête d'aigle, une gerbe de blé, un drapeau et le préambule de la Constitution. L'aigle affiche une expression étrangement vide. Pour une raison inconnue, le gouvernement fédéral, qui l'utilise partout et l'appose aussi bien sur les camions de la poste que sur les avertissements sanitaires, n'arrive pas à se décider à donner au volatile une expression furieuse, légèrement irritée ou paternelle. Cet aigle-là, qui baisse le regard vers ma photo d'identité où je louche un peu, a l'air plus tolérant qu'à l'accoutumée. Et pour cause : il a une bonne provision de blé à portée de bec.
Dans les pages suivantes commencent les vraies frivolités chauvines. On se croirait dans un véritable road trip. Des silhouettes de cactus se profilent sur un décor de désert. Viennent ensuite les montagnes Rocheuses, sous une citation pneumatique de Daniel Webster, la Cloche de la liberté, la bonne vieille Déclaration d'indépendance, l'Independence Hall et une citation plutôt maigre de George Washington, qui n'était pas homme à déclarations. Le stock de vues panoramiques ayant été épuisé dès la dixième page, on passe alors aux voiliers et aux phares. On a ensuite droit à un autre aigle, cette fois à l'air un peu plus "rapace", lorgnant l'arrière-train de bisons bien gras en train de paître sur la page d'en face. Les pages 14 et 15 montrent les quatre présidents sculptés sur le mont Rushmore sous une citation de John Kennedy. La page 16 offre une citation de Theodore Roosevelt, que l'on vient d'apercevoir sur le mont Rushmore, au-dessus du grand Mississippi, l'Old Man River [le "vieil homme", surnom donné au fleuve], et un bateau à vapeur. Viennent ensuite des canards. Puis encore du blé, des vaches à longues cornes et des cow-boys, un joli petit train, un ours en train de manger du poisson au pied d'un totem et enfin une vue du cosmos.
Il y a des citations de tous les grands noms habituels, Eisenhower, Martin Luther King, Lyndon Johnson, et même d'un Indien anonyme. Elles ont toutes un caractère plutôt non définitif, non menaçant et plein d'espoir. Vers la fin se trouvent quelques mots de l'essayiste et universitaire Anna Julia Cooper, née de parents esclaves, qui est la seule femme citée et qui dit que la liberté est le "droit inaliénable de l'humanité". A la dernière page on a même droit à quelques paroles d'encouragement pour l'avenir signées Ellison S. Onizuka, le premier Asiatique à être allé dans l'espace, décédé en 1986 dans l'explosion de la navette Challenger. Difficile d'opposer une objection à quoi que ce soit de tout cela.
Le résultat final est que tout sentiment d'affection que l'on pourrait éprouver pour le pays ou son histoire est transformé en farce. Ces symboles usés, ces scènes communes, ces versions en carton-pâte de nos héros et ces citations ronflantes y sont présentés comme la véritable Amérique. Nous avons, bien entendu, une leçon à tirer du fait que cette mise en scène a été conçue sous un gouvernement qui est sans conteste le pire de notre histoire récente. Mais je n'ose pas imaginer laquelle.
J'ai toujours aimé l'aigle qui symbolise les Etats-Unis. Ce dont il a vraiment besoin aujourd'hui, c'est d'une protection contre les bateleurs du cirque patriotique et leurs tentatives de dissimuler l'érosion des libertés des Américains.
*En français dans le texte
Jeff Danziger
Les Américains ont désormais besoin d'un passeport même lorsqu'ils se rendent dans les pays frontaliers. Le chroniqueur et dessinateur Jeff Danziger, qui vient tout juste de recevoir le sien, se moque du patriotisme dégoulinant de la nouvelle pièce d'identité.
Le gouvernement américain vient d'annoncer que l'emblème des Etats-Unis, le pygargue [son nom anglais, bald eagle, signifie littéralement : aigle chauve], a été retiré de la liste des espèces menacées. Sa chasse est toujours interdite, mais on ne peut plus brandir la menace de sa disparition pour protéger son habitat. Cela signifie que des routes pourront être construites et des arbres coupés dans les montagnes où il trouve refuge. On peut faire confiance au gang Bush pour ne pas laisser la survie de l'emblème national nous empêcher de gagner quelques dollars.
Une autre nouvelle a semé l'affolement dans toute l'Amérique : le département d'Etat a pris un énorme retard dans la délivrance des passeports. Seuls 18 % environ des Américains en possèdent un. Jusqu'à présent, nous n'avions pas besoin de passeport pour rejoindre la plupart de nos lieux de vacances. Mais, à cette époque de "terreur" qui est la nôtre, il nous en faut un pour chaque visite à nos amis* du Nord et nuestros amigos du Sud et, ce qui est plus important encore, pour pouvoir rentrer à la maison ensuite [les Américains sont désormais obligés de détenir un passeport pour se rendre au Canada, au Mexique, aux Bermudes et dans les Caraïbes]. La demande de passeports a donc été aussi soudaine que massive : on parle aujourd'hui de délais de plusieurs mois.
Je viens juste de recevoir la version remaniée et relookée du mien. Il y a sur la couverture un petit truc bizarre, qui a l'air électronique et ressemble au logo de la chaîne de fast-food Burger King. Il contient apparemment une sorte de puce qui permet au gouvernement de savoir où je me suis rendu. Mais les Américains n'aiment pas l'idée que le gouvernement puisse faire ce genre de chose. Alors, pour parer à toute accusation d'entrave à la liberté, le nouveau passeport dégouline de patriotisme. Les pages réservées aux diverses mentions, qui portaient auparavant une empreinte légère des sceaux des cinquante Etats, sont maintenant une véritable parade des grands symboles patriotiques – parmi lesquels figure le pygargue susmentionné.
Sur la première page, on peut voir Francis Scott Key, l'auteur des paroles de The Star-Spangled Banner [la Bannière étoilée], en train de contempler le fort McHenry en composant les paroles de notre hymne national impossible à chanter. La page suivante comporte une citation du discours de Lincoln à Gettysburg, discours qui est devenu parole d'Evangile dans ce pays. Sur la troisième page, face à ma photographie d'identité et aux renseignements sur ma personne, figurent une énorme tête d'aigle, une gerbe de blé, un drapeau et le préambule de la Constitution. L'aigle affiche une expression étrangement vide. Pour une raison inconnue, le gouvernement fédéral, qui l'utilise partout et l'appose aussi bien sur les camions de la poste que sur les avertissements sanitaires, n'arrive pas à se décider à donner au volatile une expression furieuse, légèrement irritée ou paternelle. Cet aigle-là, qui baisse le regard vers ma photo d'identité où je louche un peu, a l'air plus tolérant qu'à l'accoutumée. Et pour cause : il a une bonne provision de blé à portée de bec.
Dans les pages suivantes commencent les vraies frivolités chauvines. On se croirait dans un véritable road trip. Des silhouettes de cactus se profilent sur un décor de désert. Viennent ensuite les montagnes Rocheuses, sous une citation pneumatique de Daniel Webster, la Cloche de la liberté, la bonne vieille Déclaration d'indépendance, l'Independence Hall et une citation plutôt maigre de George Washington, qui n'était pas homme à déclarations. Le stock de vues panoramiques ayant été épuisé dès la dixième page, on passe alors aux voiliers et aux phares. On a ensuite droit à un autre aigle, cette fois à l'air un peu plus "rapace", lorgnant l'arrière-train de bisons bien gras en train de paître sur la page d'en face. Les pages 14 et 15 montrent les quatre présidents sculptés sur le mont Rushmore sous une citation de John Kennedy. La page 16 offre une citation de Theodore Roosevelt, que l'on vient d'apercevoir sur le mont Rushmore, au-dessus du grand Mississippi, l'Old Man River [le "vieil homme", surnom donné au fleuve], et un bateau à vapeur. Viennent ensuite des canards. Puis encore du blé, des vaches à longues cornes et des cow-boys, un joli petit train, un ours en train de manger du poisson au pied d'un totem et enfin une vue du cosmos.
Il y a des citations de tous les grands noms habituels, Eisenhower, Martin Luther King, Lyndon Johnson, et même d'un Indien anonyme. Elles ont toutes un caractère plutôt non définitif, non menaçant et plein d'espoir. Vers la fin se trouvent quelques mots de l'essayiste et universitaire Anna Julia Cooper, née de parents esclaves, qui est la seule femme citée et qui dit que la liberté est le "droit inaliénable de l'humanité". A la dernière page on a même droit à quelques paroles d'encouragement pour l'avenir signées Ellison S. Onizuka, le premier Asiatique à être allé dans l'espace, décédé en 1986 dans l'explosion de la navette Challenger. Difficile d'opposer une objection à quoi que ce soit de tout cela.
Le résultat final est que tout sentiment d'affection que l'on pourrait éprouver pour le pays ou son histoire est transformé en farce. Ces symboles usés, ces scènes communes, ces versions en carton-pâte de nos héros et ces citations ronflantes y sont présentés comme la véritable Amérique. Nous avons, bien entendu, une leçon à tirer du fait que cette mise en scène a été conçue sous un gouvernement qui est sans conteste le pire de notre histoire récente. Mais je n'ose pas imaginer laquelle.
J'ai toujours aimé l'aigle qui symbolise les Etats-Unis. Ce dont il a vraiment besoin aujourd'hui, c'est d'une protection contre les bateleurs du cirque patriotique et leurs tentatives de dissimuler l'érosion des libertés des Américains.
*En français dans le texte
Jeff Danziger
dimanche 8 juillet 2007
Will I lose my Dutch nationality because I live abroad?
For Dutch citizen. What are the consequences for my Dutch nationality?
If you acquired another nationality voluntarily before 1 April 2003, you automatically lost your Dutch nationality.
However, if you voluntarily acquired another nationality on or after 1 April 2003, under the amended Act you still lost your Dutch nationality, but the following exceptions apply since that date.
After 1 April 2003, Dutch citizens with dual nationality may lose their Dutch nationality if they reside outside the Kingdom of the Netherlands or outside the European Union for a long period. Their place of birth is irrelevant in this event.
If you hold the same foreign nationality alongside Dutch nationality for ten years, and you are resident outside the Kingdom of the Netherlands and the European Union for ten years, you will lose your Dutch nationality.
You can ensure that you retain your Dutch nationality by having your principal residence in the Kingdom of the Netherlands or the European Union for at least one year or applying for a Dutch passport or proof of Dutch nationality before 1 April 2013. A new ten-year period starts on the day you are issued with a passport or proof of Dutch nationality.
You will not lose your Dutch nationality:
a) if you were born in the country of your other nationality and have your principal residence there when you acquire the nationality of that country;
b) if, before you turned 18, you had your principal residence in the country of your other nationality for an uninterrupted period of five years;
c) if you are married to a person who possesses the nationality you wish to acquire.
Ministerie van Buitenlandse Zaken
anyway,it's still not that simple, some exceptions exist, you should refer to:
http://www.minbuza.nl/en/welcome/DutchCitizens,dutch_nationality/i_am_a_dutch_citizen_and_would_like_to_acquire_anothe.html
If you acquired another nationality voluntarily before 1 April 2003, you automatically lost your Dutch nationality.
However, if you voluntarily acquired another nationality on or after 1 April 2003, under the amended Act you still lost your Dutch nationality, but the following exceptions apply since that date.
After 1 April 2003, Dutch citizens with dual nationality may lose their Dutch nationality if they reside outside the Kingdom of the Netherlands or outside the European Union for a long period. Their place of birth is irrelevant in this event.
If you hold the same foreign nationality alongside Dutch nationality for ten years, and you are resident outside the Kingdom of the Netherlands and the European Union for ten years, you will lose your Dutch nationality.
You can ensure that you retain your Dutch nationality by having your principal residence in the Kingdom of the Netherlands or the European Union for at least one year or applying for a Dutch passport or proof of Dutch nationality before 1 April 2013. A new ten-year period starts on the day you are issued with a passport or proof of Dutch nationality.
You will not lose your Dutch nationality:
a) if you were born in the country of your other nationality and have your principal residence there when you acquire the nationality of that country;
b) if, before you turned 18, you had your principal residence in the country of your other nationality for an uninterrupted period of five years;
c) if you are married to a person who possesses the nationality you wish to acquire.
Ministerie van Buitenlandse Zaken
anyway,it's still not that simple, some exceptions exist, you should refer to:
http://www.minbuza.nl/en/welcome/DutchCitizens,dutch_nationality/i_am_a_dutch_citizen_and_would_like_to_acquire_anothe.html
mercredi 4 juillet 2007
Le faux passeport d'Adolf Eichmann avait été délivré par la Croix-Rouge
Le document de voyage du criminel nazi a été découvert dans les archives du palais de justice de Buenos Aires.
C'est par hasard que le faux passeport utilisé par le criminel de guerre nazi Adolf Eichmann pour fuir l'Europe et se réfugier en Argentine, le 14 juillet 1950, a été retrouvé dans les archives du palais de justice de Buenos Aires. « Il s'agit d'une pièce historique », a révélé, lundi 28 mai, la juge Maria Servini de Cubria, qui l'a découvert lorsqu'une étudiante a sollicité l'accès aux archives du tribunal. La magistrate a décidé de confier le document au Musée de l'Holocauste, ouvert en 1999 à Buenos Aires.
Le faux passeport avait été établi au nom de Riccardo Klement, né le 23 mai à Bolzano, dans le nord de l'Italie, et avait été délivré, le 1er juin 1950, par la Croix-Rouge internationale (CICR) à Genève. Ancien directeur du bureau des affaires juives sous le régime hitlérien, Adolf Eichmann est l'un des principaux responsables de la mise en oeuvre de la « solution finale », qui conduisit à l'extermination de six millions de juifs dans les camps. Il a vécu paisiblement pendant dix ans en Argentine avant d'être enlevé dans la banlieue de Buenos Aires, le 11 mai 1960, par les services secrets israéliens. Conduit clandestinement en Israël, il a été jugé et pendu deux ans plus tard, le 31 mai 1962.
Au lendemain de la seconde guerre mondiale, des milliers de nazis et autres criminels de guerre ont trouvé refuge en Argentine grâce à la bienveillance du général Juan Peron et de l'Eglise catholique. Parmi eux, Klaus Barbie (chef de la Gestapo à Lyon), Joseph Mengele (« l'ange de la mort »), Walter Kuschmann (un des chefs de la Gestapo en Pologne), Ante Pavelic (chef du régime oustachi en Croatie) ou encore Eduard Roschmann (le « boucher de Riga »).
En 1990, Josef Schwammberger, ex-officier SS accusé d'avoir assassiné 5 000 juifs polonais, a été extradé vers l'Allemagne, après avoir vécu plus de vingt ans en Argentine. En 1995, l'ancien SS Erich Priebke, devenu un notable de la ville de Bariloche (Patagonie), a été extradé vers l'Italie et condamné à la prison à vie pour le massacre des fosses Ardéatines à Rome en 1944. En 1998, le fasciste Dinko Sakic, ex-commandant du camp de concentration Jasenovac, a été extradé en Croatie.
A Genève, le CICR a confirmé, mercredi, avoir délivré le faux passeport d'Adolf Eichmann, affirmant avoir été trompé. « A la suite de la seconde guerre mondiale, des masses de population en mouvement ont bénéficié de titres de voyage. Le CICR ne disposait pas d'un système d'enquête pour vérifier leurs identités », a regretté son porte-parole, Vincent Lusser.
Le Monde
C'est regrettable, en effet, mais quand même, la Croix-Rouge a le sens du foutage de gueule...
lundi 2 juillet 2007
Vous êtes Canadien, vous allez au Brésil? vous êtes sûr?
Exigences pour les titulaires de passeport canadien:
passeport original:
• valable pour au moins 6 mois;
• signé au champ désigné;
• avec au moins une page vide, disponible pour l’émission du visa.
un (1) formulaire de demande de visa:
• dûment rempli en encre noire ou bleue;
• signé au champ désigné.
une (1) photo récente, format passeport:
• contre un fond blanc, le visage de l’appliquant tourné directement vers la caméra;
• des photos scannées ne sont pas acceptées.
preuve d’achat du billet d’avion aller-retour / croisière (une des possibilités suivantes seulement):
• photocopie du billet;
• photocopies de l’itinéraire de vol et de la preuve de paiement du billet (reçu, facture);
• billet stand-by original, pour les employés (e) s de compagnies aériennes.
preuve de ressources financières / preuve d’emploi (une des possibilités suivantes seulement):
• carte de crédit valable originale, à être présenté lors de la demande;
• photocopie de relevé bancaire récent, avec le nom du détenteur du compte imprimé au complet;
• photocopie de chèque de paie récent;
• lettre de l’employeur, précisant le revenu de l’employé;
• photocopie du dernier rapport d’impôt.
frais pour détenteurs de passeport canadien (pour d’autres nationalités, informations sur demande):
• CA$ 72,00, si l’appliquant se présente au guichet;
• CA$ 90,00, si la demande est faite par une tierce personne ou envoyée par la poste (joindre une enveloppe XPRESSPOST de retour pré-affranchie portant votre nom, prénom et adresse pour recevoir votre passeport).
-------------------------
C'est peut-être pour ça qu'on ne voit guère de canadiens au Brésil...
passeport original:
• valable pour au moins 6 mois;
• signé au champ désigné;
• avec au moins une page vide, disponible pour l’émission du visa.
un (1) formulaire de demande de visa:
• dûment rempli en encre noire ou bleue;
• signé au champ désigné.
une (1) photo récente, format passeport:
• contre un fond blanc, le visage de l’appliquant tourné directement vers la caméra;
• des photos scannées ne sont pas acceptées.
preuve d’achat du billet d’avion aller-retour / croisière (une des possibilités suivantes seulement):
• photocopie du billet;
• photocopies de l’itinéraire de vol et de la preuve de paiement du billet (reçu, facture);
• billet stand-by original, pour les employés (e) s de compagnies aériennes.
preuve de ressources financières / preuve d’emploi (une des possibilités suivantes seulement):
• carte de crédit valable originale, à être présenté lors de la demande;
• photocopie de relevé bancaire récent, avec le nom du détenteur du compte imprimé au complet;
• photocopie de chèque de paie récent;
• lettre de l’employeur, précisant le revenu de l’employé;
• photocopie du dernier rapport d’impôt.
frais pour détenteurs de passeport canadien (pour d’autres nationalités, informations sur demande):
• CA$ 72,00, si l’appliquant se présente au guichet;
• CA$ 90,00, si la demande est faite par une tierce personne ou envoyée par la poste (joindre une enveloppe XPRESSPOST de retour pré-affranchie portant votre nom, prénom et adresse pour recevoir votre passeport).
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C'est peut-être pour ça qu'on ne voit guère de canadiens au Brésil...
Espace Schengen
Le court séjour (moins de 90 jours dans l’« espace Schengen »)
Le court séjour est un séjour dans l’ « espace Schengen » de moins de 90 jours ou une succession de séjours dont la durée cumulée est inférieure à 90 jours par période de 6 mois.
Pays membres de l'Union européenne au 1er janvier 2007 : Allemagne, Autriche, Belgique, Bulgarie, Chypre, Danemark, Espagne, Estonie, Finlande, France, Grèce, Hongrie, Irlande, Italie, Lettonie, Lituanie, Luxembourg, Malte, Pays-Bas, Pologne, Portugal, République tchèque, Roumanie, Royaume-Uni, Slovaquie, Slovénie, Suède.
Pays de l'Espace économique européen (EEE) sont :
les Etats membres de l'Union européenne;
l’Islande, le Liechtenstein, la Norvège.
Sont dispensés de visa :
les ressortissants des pays suivants : Andorre, Argentine, Australie, Bermudes, Brésil, Brunei, Canada, Chili, Corée du Sud, Costa Rica, Croatie, El Salvador, Etats unis, Guatemala, Honduras, Israël, Japon, Malaisie, Mexique, Monaco, Nicaragua, Nouvelle Zélande, Panama, Paraguay, Saint-Marin, Saint-Siège, Venezuela ;
les titulaires de passeports de la région administrative de Hong Kong (République Populaire de Chine) et de la région administrative de Macao (République Populaire de Chine)
source: diplomatie.gouv.fr
Le court séjour est un séjour dans l’ « espace Schengen » de moins de 90 jours ou une succession de séjours dont la durée cumulée est inférieure à 90 jours par période de 6 mois.
Pays membres de l'Union européenne au 1er janvier 2007 : Allemagne, Autriche, Belgique, Bulgarie, Chypre, Danemark, Espagne, Estonie, Finlande, France, Grèce, Hongrie, Irlande, Italie, Lettonie, Lituanie, Luxembourg, Malte, Pays-Bas, Pologne, Portugal, République tchèque, Roumanie, Royaume-Uni, Slovaquie, Slovénie, Suède.
Pays de l'Espace économique européen (EEE) sont :
les Etats membres de l'Union européenne;
l’Islande, le Liechtenstein, la Norvège.
Sont dispensés de visa :
les ressortissants des pays suivants : Andorre, Argentine, Australie, Bermudes, Brésil, Brunei, Canada, Chili, Corée du Sud, Costa Rica, Croatie, El Salvador, Etats unis, Guatemala, Honduras, Israël, Japon, Malaisie, Mexique, Monaco, Nicaragua, Nouvelle Zélande, Panama, Paraguay, Saint-Marin, Saint-Siège, Venezuela ;
les titulaires de passeports de la région administrative de Hong Kong (République Populaire de Chine) et de la région administrative de Macao (République Populaire de Chine)
source: diplomatie.gouv.fr
Países que exigem vistos de entrada para brasileiros
Arábia Saudita
Argélia
Austrália
Bangladesh
Cabo Verde
Camarões
Canadá
China
Chipre
Coréia
Costa do Marfim
Cuba
Egito
El Salvador
Emirados Árabes
Gâmbia
Ghana
Guiana
EUA
Gabão
Índia
Irã
Iraque
Iugoslávia
Japão
Jordânia
Kuwait
Letônia
Líbano
Líbia
Lituânia
Malawi
México
Nigéria
Nova Guiné
Paquistão
Rússia
Senegal
Síria
Tailândia
Togo
Ucrânia
Zaire
Argélia
Austrália
Bangladesh
Cabo Verde
Camarões
Canadá
China
Chipre
Coréia
Costa do Marfim
Cuba
Egito
El Salvador
Emirados Árabes
Gâmbia
Ghana
Guiana
EUA
Gabão
Índia
Irã
Iraque
Iugoslávia
Japão
Jordânia
Kuwait
Letônia
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Líbia
Lituânia
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México
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